Pendant le lancement du grand débat national, l’étatisme se poursuit avec des décisions prises par les préfectures sans aucune concertation avec les élus locaux, preuve s’il en est que ce grand débat est un enfumage massif. Ce n’est pas la parole qu’il faut donner au peuple, mais le pouvoir, selon le principe de subsidiarité, bien rappelé dans le courrier ci-dessous.
Sébastien Meurant, sénateur LR du Val d’Oise et ancien maire de Saint-Leu-la-Forêt, écrit au préfet :