La ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, avait plusieurs fois répété son intérêt pour ces "centres de consommation supervisés". Après plusieurs députés, c'est aujourd'hui le bureau du premier ministre qui vient la contredire :
"[Ce n’est] ni utile, ni souhaitable […] La priorité de Matignon est de réduire la consommation de drogue, non de l'accompagner, voire de l'organiser".
Après une gestion de la "pandémie" de grippe H1N1 critiquée, une coupe du monde de football catastrophique, ce type de position continue de placer Roselyne Bachelot en complet décalage. Cherchera-t-elle à se rattraper d'ici octobre ?