Dans l’ouvrage d’Eric Branca et Arnaud Folch, Le mystère Villiers, on peut lire la confidence de Nicolas Sarkozy à Philippe de Villiers :
"Les deux hommes, qui se tutoient, n’ont jamais été intimes. Leur dernier déjeuner commun remonte à 1999, peu après les européennes où la liste Pasqua-Villiers avait devancé celle du duo Sarkozy-Madelin. Alors en pleine traversée du désert, le député-maire de Neuilly avait eu cette phrase, à l’adresse du Vendéen – qui n’est pas prêt de l’oublier : « Tu as de la chance, Philippe, toi tu aimes la France, son histoire, ses paysages. Moi, tout cela me laisse froid. Je ne m’intéresse qu’à l’avenir …"
VoxGalliae rappelle cette autre phrase du ministre-candidat prononcée le 12 octobre 2006, à Périgueux, devant 4000 personnes :
"La France ne veut pas de ceux qui ne l’aiment pas."
Bien envoyé Monsieur le candidat.
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Oui, mais quel avenir ? Vu les derniers exploits politiques du bonhomme…l’avenir ne peut que nous laisser… froid… et inquiet (surtout sur le plan identitaire).