Vendredi 19 juillet, 10 enveloppes en trop avaient été retrouvées après le premier tour du vote pour les vice-présidences et le scrutin avait dû être annulé puis refait. Aucune enquête poussée ne sera diligentée pour connaître le fin mot de l’histoire. La présidence de l’Assemblée avoue son impuissance :
«Les investigations ont eu lieu et elles n’ont pas permis d’apporter de conclusion. La cause n’a pas été identifiée. En fait, en l’absence de flagrant délit, impossible de savoir.»
Un député macroniste raconte :
«Il y a eu des expérimentations, menées le soir même par des députés-scrutateurs, des fonctionnaires de l’Assemblée, des gens qui étaient au dépouillement. Il fallait essayer de comprendre comment on peut mettre plusieurs enveloppes ensemble sans que ça se voit au moment du vote. Et on pense avoir trouvé : en laissant l’enveloppe ouverte, on peut en glisser deux ou trois ensemble et passer le rabat par-dessus ; quand ça tombe dans l’urne, elles se séparent… Ce serait une explication physique, en tout cas.»
Collapsus
Ça marche aussi pour les élections nationales ?
Meltoisan
Peut-être qu’il n’y avait pas que les urnes qui étaient bourrées… ?
aukepi
Testé et approuvé lors des élections nationales !
cadoudal
bourrer les urnes ?
c’est le b.a. ba de la démocratie .
ExtraEcclesiamnullasalus
La cause n’a peut-être pas été formellement identifiée mais elle porte la signature indélébile des pratiques frauduleuses et de la falsification à outrance, marques de fabrique de la Gauche haineuse, crypto-socialiste nationaliste et néo-communiste, et son inénarrable cynisme consommé.
Adalbert
A gauche ce sont de grands spécialistes, on se souvient des votes internes au parti socialiste où ces pratiques étaient institutionnalisées. Ne parlons même pas des bolcho-gauchistes, pour qui la démocratie est un piège à c…