Ivan Rioufol, dans le Figaro, revient sur le rapport controversé de la commission du député Fenech :
"Mardi, une commission parlementaire a accusé les pouvoirs publics de « négligence », au prétexte que ni l’Éducation nationale, ni l’Intérieur n’ont trouvé à redire à la manière dont les enfants de ces mouvements étaient traités et éduqués. Pour avoir fait remarquer qu’aucun incident n’avait mis en cause les Témoins de Jéhovah concernant des refus de transfusion sanguine, le chef du bureau central des cultes du ministère de l’Intérieur est particulièrement pris à partie. Certes, on ne peut reprocher à ces parlementaires de s’inquiéter de risques d’endoctrinement et de désocialisation d’enfants. Mais leur traque aux sectes, vieille lubie française, s’apparente de plus en plus à une volonté de mise aux normes d’une République laïcarde, inquisitoriale, doctrinaire. Le sectarisme antisectes n’est pas loin."
furgole
Vu l’absence de définition juridique, ne serait-il pas nécessaire de considérer que sévit une secte influence, intolérante et redoutable qui exerce l’influence la plus délétère sur la santé morale et physique de la jeunesse, et nuit à son épanouissement par l’enfermement mental auquel elle confine nos enfants : j’ai nommé l’Education nationale.
En effet, on ne saurait énumérer tous les méfaits de cette secte malfaisante :
– négationnisme caractérisé : qui parle à nos enfants du génocide vendéen ? au contraire, les inspirateurs (Jean-Jacques Rousseau) et auteurs de ces atrocités (Robespierre, Carnot) sont présentés comme de grands biendfaiteurs de l’humanité
– exposition de nos enfants à la pornographie la plus vile due à la plume d’individus peu recommandables (le Gone de Chaba, Azouz Begag)
– fréquence croissante d’incidents violents, voire mortels
oba
bravo à Yvan Rioufol
une fois de plus, il a vu juste