Une chronique de Gabrielle Cluzel :
"« Que votre oui soit un oui, que votre non soit un non », demandait un responsable de Sens commun en guise de préambule au meeting de samedi. Mais voilà, c’était un peu tard. Forcément. Le discours de Nicolas Sarkozy était déjà écrit. Et sa réponse, à lui, fut « noui ». Était-il pour ou contre le mariage gay ? Disons « pontre » et « cour ». Un mariage pour les hétéros et un mariage pour les homos. (…)
Quel dommage. La vie jusqu’à la Manif pour tous était si simple. Il régnait sur les questions sociétales un flou de bon aloi. Une indétermination commode. Une sorte de théorie du genre appliquée à la politique : tu pouvais être de droite et avoir des idées de gauche, comme papa met une robe. Las, à présent, plus moyen d’être trans.
Et Nicolas Sarkozy a fini par lâcher le mot, du bout des lèvres, avec la pression de la salle comme un flingue sur sa tempe : « Si ça vous fait plaisir… » Ovation du public. Une ovation absurde, selon certains. Comme si Nicolas Sarkozy, avec l’enthousiasme délirant dont il faisait montre, allait réellement l’abroger. Comme s’il ne fallait pas une conviction, intime, profonde, loin de toute considération électoraliste pour affronter l’ouragan de protestation, d’indignation, de stigmatisation qu’une telle abrogation ne manquerait pas de déclencher dans certains milieux influents. Bruno Le Maire, dont on doit reconnaître la franchise, a d’ailleurs mis en garde, presque paternellement, les militants de Sens commun : il va vous cocufier, a-t-il dit peu ou prou. Lui aussi les prend pour des naïfs. Tout le monde les prend pour des naïfs. Mais parfois, les naïfs, avec leur sincérité encombrante et leur côté saint Jean Bouche d’or, vous mettent, involontairement, un sacré bobinard.
Le mouvement LMPT, que Sens commun semble vouloir lui offrir sur un plateau d’argent, est pour Nicolas Sarkozy la tunique de Nessus. Comment faire autrement, pourtant, qu’accepter poliment, pour se démarquer d’Alain Juppé, pour ne pas braquer ce vivier de voix et l’envoyer (pour les primaires) chez Hervé Mariton et, plus grave (pour les présidentielles), chez Marine Le Pen ?
Mais voilà déjà qu’elle lui colle à la peau. Déjà, les reproches pleuvent de tous côtés, car le mariage pour tous est déjà devenu un dogme de foi qu’on n’écorne pas, même un tout petit peu. Sa déclaration affirmant tout et son contraire est appelée « coming out homophobe » par le PCF qui ne recule jamais devant aucune bonne blague, tandis que NKM et Valérie Pécresse, en copines sur lesquelles on peut compter, prennent fissa leurs distances, se barrant à toute berzingue sur leurs petits escarpins : l’abrogation n’est « ni souhaitable, ni possible », elle « n’est pas humainement réaliste ».
Sens commun a voulu faire rentrer la vérité au sein de l’UMP. Celle-ci se révèle être un cheval de Troie redoutable. Sens commun veut servir l’UMP, il peut aussi contribuer à la détruire."
estebe
Si Sens Commun pouvait aboutir à ce que les carriéristes bobo de l’ump disparaissent au fond de leur vide doctrinal ce serait parfait.
Si Sens Commun pouvait être le fédérateur de toutes les droites, les vraies droites ce serait parfait.
Michel-Ange
Détruire l’UMP!? Voilà une idée qui ne me déplaît pas!
Peut-être une manière de commencer à détruire ce système politique clivant et pervers, opposant une soit-disant “droite” à une soit-disant “gauche”.
Jusqu’à que celui-ci soit définitivement liquidé pour laisser place à un système politique n’ayant qu’une seule référence, la seule légitime et véritable: Dieu!
Vivement un gouvernement de Droit Divin, seul capable de relever et faire rayonner à nouveau la France!
esprit libre
Au-delà de sa truculence verbale, Gabrielle Cluzel signe une chronique très fine qu’il faut lire in extenso.
Elle donne un écho qui rejoint l’écho du billet d’Eric Zemmour sur RTL Matin : Sens commun, aimé ou pas (j’en suis très éloigné) a eu une initiative qui, en y réfléchissant, a contraint beaucoup de monde à mettre les pieds dans le plat ou à jeter le masque, à placer le sujet au coeur de l’actualité, à briser l’omerta d’un microcosme qui tentait de faire avaler aux Français l’irréversibilité de cette rupture de civilisation dans une véritable opération de propagande avec sondage sur mesure mis en musique sur tous les médias.
Sans partager toujours ses chroniques ou ses positionnements, je lis chaque fois Gabrielle Cluzel et ne le regrette jamais.
Arwen
Bernanos aurait dit “monsieur Ouine”…
Sarkozy veut être élu pour être élu, non d abord pour redresser la France. il vaut mieux garder cela en tête.
jeanne
Il est certain que les espoirs déjà incertains qu’a laissé surgir à contre coeur N. SARKOZY devront être comblés : sans cela, l’UMP n’aura aucun candidat à la présidentielle qui soit abolitionniste. Ni Juppé, ni Fillon, qui finiront par s’entendre contre Sarkozy. Et celui-ci lâché par tous les lobbies, maçonniques et autres, avec la pression judiciaire qui va reprendre, flanchera et capitulera de facto. Il l’a fait implicitement par sa lenteur à se prononcer : quasiment 3 ans, et par une proposition de réécriture qui n’est pas une abolition.
L’UMP est un géant qui est entré en unité de réanimation pour coma avancé : la question n’est plus celle de sa mort, mais celle de son incapacité politique face à la gauche.
D’où les appels du POINT de cette semaine : une grande union PS-UDI-UMP et quelques autres, dans laquelle évidemment, le maintien de la loi TAUBIRA sera l’un des ciments de la construction de ce nouvel édifice ”républicain”.
In fine, seul le FN maintiendrait alors l’abrogation. Cela ne simplifie pas le combat de Sens Commun, ni celui de la MPT, qui fondaient tous leurs espoirs sur une transformation de l’UMP.
Stephe
La destruction de l’UMP est elle évitable? c’est un machin style ONU dont il ne peut sortir rien de bon, quant aux NKM et Pécresse on se demande pourquoi on continue à les citer, elle n’ont aucun poids électoral à droite, en tout cas rien de suffisant pour jouer les premiers rôles. Sans les médias elles sont inexistantes et c’est bien pour cela qu’elles se démarquent de “l’abrogation” terme devenu aussi efficace que l’eau bénite pour faire sortir les diablotins de leur trou.
LB
“Ce n’est pas la girouette qui tourne c’est le vent” Edgar Faure, un pro.
C’est celui qui finance qui décide, ploutocratie, oligarchique, déguisée en fille publique démocrate entélévisée.
Qu’attendre de Jupette et consorts ???
Jean-Claude
“Sens commun veut servir l’UMP, il peut aussi contribuer à la détruire.”
CHICHE
SD-Vintage
Sarkozy qui a forcé les Français à manger halal … au nom de la laïcité
Exupéry
Un “sens commun” qui explose de joie frénétique dès que Sarkosy fait semblant d’envisager verbalement l'”abrogation”, démontre qu’il n’a aucun bon sens et qu’il est comme les autres bobos, très loin du principe de réalité.
Ce qui fort probablement, risque de nous conduire au drame (dans de nombreux domaines), c’est que le Français moyen veut tout dédramatiser, pour continuer tranquillement sa petite vie, malgré tout, assez peinarde. Refuser d’envisager le pire y conduit.
Dans ce monde décadent, les “diables” sont légion, mais beaucoup mettent des lunettes d’autruche pour essayer de dédramatiser la situation en les voyant comme des sauveurs potentiels.
Henri Heine affirmait: “Le principal allié du diable est l’intellectuel libéral qui ne croit pas au diable.” C’est toujours vrai.
xenophon
Bien vu… mais La Manifpourtous,à juste titre et plus que jamais,continuera de faire en sorte de ne pas se ligoter à tel ou tel parti et de considérer “Sens commun” comme de bons fantassins au même titre que tous les mouvements, associations,partisans de la nébuleuse LMPT.
Les sous-marins de l’ump ,à son égard,ne resteront pas en plongée profonde…
Meltoisan
L’article est très bien écrit mais c’est très désagréable d’aller consulter le site « Boulevard Voltaire » : Les articles ne sont ni datés ni signés alors je n’y vais pas. De plus, ils renvoient uniquement à fesses-bouc que je ne fréquente pas, alors, impossible de laisser un commentaire.
Je préfère mille fois la simplicité du Salon Beige : Merci encore.
Meltoisan
Changer le sens des mots, ils le font déjà depuis leur origine : Ils auraient pu dire qu’ils sont des gens de « BON SENS » main non, il a fallu qu’ils utilisent l’expression « SENS COMMUN » (common sense) qui n’est qu’un anglicisme pour dire ce « Bon sens » qu’ils n’ont décidemment pas !
C’est comme si j’utilisais l’expression « Made in France » pour défendre le « Fabriqué en France » ou le « Fait en France », cela n’a aucun sens … (commun) !
C’est comme si, entrant dans une auberge au fin fond de la campagne française, on vous proposait des produits du terroir en anglais sous prétexte qu’il y a beaucoup d’étrangers de passage, sans s’enquérir d’abord de savoir si vous parlez Français ou, pire, êtes Français ! Il suffit que cela m’arrive pour que je quitte l’endroit sur le champ.
Ces gens-là, s’ils aimaient la France au lieu de chercher à plaire ne feraient pas cela !
Piline
Excellente chronique.
Que l’on croit ou non Nicolas Sarkozy (pour ma part, ce serait plutôt non), ce mot d’abrogation lâché du bout des lèvres prouve plusieurs choses:
– Le Mariage pour Tous et son abrogation sont des sujets sur lesquels les politiques de droite ne peuvent plus faire l’impasse
– Le flou n’est plus permis. La déclaration de Nicolas Sarkozy devra être expliquée, et les militants et sympathisants ne se contenteront pas d’un “ni cour ni pontre”
Deux ans de Manifs pour Tous n’ont donc pas été inutiles. car si nous n’avions pas fait tout ce barouf, soyons sûrs qu’on n’en parlerait même plus aujourd’hui.
A nous de continuer la mobilisation, pour maintenir la pression, et, qui sait? transformer l’essai.
ONLR.
Patrick
Papier extrêmement intéressant , qui donne l’occasion de débattre en allant vraiment au fond des choses sur la portée de ce qui s’est passé lors de la réunion sens commun avec la déclaration de Sarkozy.
Considérons d’abord cette phrase essentielle de Gabrielle Cluzelle en ouverture du dernier alinéa qui conclut son papier : « Sens commun a voulu faire rentrer la vérité au sein de l’UMP ». Gabrielle Cluzel a raison de dire cela, car c’est bien là en effet ce qui a motivé sens commun pour inciter sarkozy à aller jusqu’à prononcer le mot de l’abrogation, et c’est bien d’ailleurs plus généralement le sens profond de la démarche sens commun : tenter de redonner à la reconnaissance de la vérité la place centrale dans la politique, place centrale qu’elle n’aurait jamais dû quitter et qu’il est plus que sain de vouloir tenter de lui redonner. D’une certaine manière, c’est le mépris de la vérité aujourd’hui dominant au sein du monde politique qui explique, au moins pour une part,, le mépris de l’opinion pour la politique. Retrouver l’ambition de la vérité, c’est trouver le chemin du renouveau de la politique.
Le caractère louable de cette motivation ne peut donc guère être contesté. La question mérite par contre en effet d’être examinée et pesée de savoir si celle-ci est suffisamment réaliste pour pouvoir être efficace et conduire à la victoire, à savoir celle de ceux qui veulent défendre la vérité, dans la perspective notamment de l’échéance majeure à venir qui est celle des présidentielles de 2017.
Notre avis est que la réponse est oui. Cette prise de position de Sarkozy ouvre, dans cette période où nous nous trouvons de préparation, au-delà du scrutin pour la présidence de l’UMP, des présidentielles, une ère nouvelle : celle de pouvoir enfin bien distinguer entre, d’un côté, les vrais opposants à la politique de l’absurde et du mensonge qui caractérise fondamentalement l’attitude de Hollande et des socialistes qui le soutiennent ou l’ont soutenu, et, de l’autre, ceux que l’absurde et le mensonge intrinsèquement associés aux discours et aux choix de Hollande, et plus largement des socialistes, en réalité ne choque pas vraiment. Une ère nouvelle vient de s’ouvrir avec ce qui s’est passé dimanche , car les masques tombent.
Du côté de ceux que l’absurde et le mensonge intrinsèquement associés à Hollande et plus généralement aux socialistes, en réalité, ne révulsent pas vraiment, on voit apparaitre désormais clairement, bien sûr, Juppé dans le prolongement de Chirac (de la part de ce dernier, ce n’est pas, ou pas seulement l’effet de l’âge, s’il soutient Juppé), mais aussi, notamment Fillon (pour ce dernier, il nous suffit de voir que, jusqu’ici, avant la dernière affaire que l’on sait, il n’hésitait pas à reconnaitre qu’il avait de l’amitié pour Jean-Pierre Jouyet !!!!), et Lemaire, et tant d’autres.
De l’autre côté, ceux qui sont vraiment choqués par l’absurde et le mensonge de Hollande et de tous ceux qui sont, de près ou de loin, dans son camp ou qui l’ont été il y a encore peu, on trouve bien sûr notamment Laurent Wauquiez, mais aussi Mariton, Jacob, Poisson, et tant d’autres, mais en outre désormais avec une parfaite évidence, avec l’expression de cette radicalité sur l’essentiel qui manquait encore un peu jusqu’à dimanche, de Sarkozy lui-même.
Le grand débat, n’ayons pas peur des mots car c’est cela en politique, le grand combat est maintenant lancé et peut maintenant se développer entre Hollande et ceux qui, de près ou de loin le soutiennent ou l’ont soutenu, et les autres qui s’opposent authentiquement et à tous égards (tout autant et même sans doute plus encore que les partisans du FN) à lui, et qui ont désormais pleinement leur vrai chef de file, à savoir Nicolas Sarkozy.
Oui, ce qui s’est produit dimanche est réellement important. Pour le mesurer, il n’est que de voir comment le débat sur la position à prendre dans la manière de combattre la loi Taubira s’en est trouvé d’un coup transformé. Alors que jusque là, la position de prôner l’abrogation apparaissait comme certes présente sur la scène politique, mais assez marginale, presque symbolique, même si elle était déjà soutenue par des responsables politiques éclairés et importants, grâce à qui le flambeau est resté allumé et auxquels on doit être particulièrement reconnaissant et louangeur, voilà maintenant le thème de l’abrogation propulsé comme un sujet parfaitement crédible, désormais ayant toute sa place au cœur du débat politique, et tous ceux qui l’éludaient au nom de l’impossibilité ou de l’irréalisme se trouvent débusqués dans leur calculs et dans leurs mensonges.
Et qu’on n’aille pas nous dire que les paroles prononcées par Sarkozy devant les militants de sens commun sont sans valeur parce qu’elles lui auraient été simplement extorquées sous la pression de sens commun. Certes, Sarkozy a pu observer l’intensité de l’attente de la salle en faveur de l’abrogation et de sa prise de position en ce sens, mais cela joue en sa faveur, et non en sa défaveur, d’avoir su mesurer l’intensité de cette attente, et d’y avoir répondu même s’il savait que c’était pour lui une voie comportant certains risques, mais il a senti aussi qu’il avait en face de lui un public honnête, désireux avec intensité de faire prévaloir la vérité. L’impact que cela a immédiatement déclenché dans les medias et dans l’opinion, selon l’analyse qui vient d’être présentée, montre d’ailleurs qu’il ne s’est pas trompé, en dépit des nombreux commentaires formulés par les amateurs de mensonges, mais qui sont d’autant plus vexés qu’ils sentent bien, même s’ils ne le ressentent encore que confusément, que c’est un pas important qui vient d’être fait dans la direction de la reconnaissance, en politique, de la vérité, et que pour eux, qui jouent la carte du mensonge, c’est dès lors un pas qui est franchi les rapprochant de leur défaite.
professeur Tournesol
Sarkozy c’est un peu le Hollande de droite, à force de vouloir contenter tout le monde ne contente plus personne. Après avoir été “ni pour, ni contre, bien au contraire” il a fini par prendre position, en traînant les pieds, et en plus une position qui reste ambiguë, résultat, tandis que la gauche et les LGBTistes l’accusent d’homophobie (vieille rengaine usée) et font à nouveau de Sarkozy un repoussoir, les adversaires résolus de la loi Taubira ne croient pas à sa sincérité et à sa résolution d’abroger ladite loi. Je m’étonne que les gens de Sens commun aient pu applaudir ce bonimenteur qui a lâché le mot “abrogation” parce que ça leur fait plaisir et que ça coûte pas plus cher.
Marine Le Pen a aussi promis l’abrogation, mais vu qu’elle n’a jamais mis les pieds dans les “manifs pour tous” et qu’une partie du FN et maintenant “gay-friendly” j’ai des doutes.
professeur Tournesol
Je rejoins l’un des commentaires : merci au SB de nous laisser mettre des commentaires, et ceci sans abonnement, ou en passant par un pseudo “réseau social”. Merci plus globalement de nous aider à nous informer.
Par contre pourquoi y a-t-il des articles que l’on ne peut pas commenter ?
[Chaque blogueur décide s’il ouvre ou non les commentaires en fin de post. Les lire et corriger les fautes d’orthographe réclamant beaucoup de temps, je ne peux, en ce qui me concerne, donner cette possibilité aux lecteurs à chaque fois que je publie un post.
L.T.]
Jean Theis
Sens Commun, rien que ce nom est mauvais. Ce petit parti va se diluer dans l’UMPS. Il aura brillé de quelques feux un moment, c’est tout.
Hélas la Manif pour Tous n’a pas d’hommes politiques de haut niveau (non, je n’apprécie pas les femmes en politique, je ne vois rien de meilleur que leur présence ait apporté).
Le résultat est qu’on se contente de petits moulinets.
lève-toi
Ce petit bonhomme nuisible a besoin d’un médicament efficace, le Kazstoapokon.
scat
Sens commun c’est terminé. Vu les lâchetés de certains, cela a dégouté trop de monde qui vont voir ailleurs. Beaucoup d’adhérents UMP quittent le navire. Fini, Sens commun…
Gégé
Bravo à Gabrielle Cluzel.
Elle a le mérite d’expliquer clairement comment se déroule le cocufiage de Sens Commun par l’UMP et ses dirigeants. Ca n’avait pas suffit que Sarko fasse l’ouverture à gauche et enfume tout le monde avec la constitution européenne. Il y en a encore pour l’ovationner lorsqu’il ment à nouveau sur l’abrogation du “pseudo mariage” gay
Je me sens emporté tout droit dans les bras des mangeurs d’enfants pour les prochaines élections.
professeur Tournesol
@ Louise Tudy
Merci pour votre réponse, je comprends en effet que vous n’ayez pas le temps de tout lire et vérifier. é o moin ici lé komentR son en francè !!
C’est dommage que beaucoup de sites nous obligent à passer par Facebook pour commenter.
Baudouin
Cette tribune fait son effet : un débat nourri s’engage sur ce fil et c’est une des vertus du Salon beige !
Joel
Comme le dit Zemmour, il est tout à fait certain que Sarkozy ne croit pas un mot de ce qu’il dit: “ça coûte pas cher” pour le citer.
Cependant sa phrase sur l’abrogation a le mérite de mettre à nouveau la loi Taubira au centre des débats.
Sarkozy doit cependant faire attention, s’il persévère dans cette voie de l’abrogation, il aura vite les grands lobbies sur le dos: la justice, LGBT et l’intersyndicale des hommes politiques…
gemey
Sens commun est insensé.
On ne change pas de l’intérieur un système pourri, on le brûle comme les mauvaises herbes.
Sens commun a un ego et une suffisance démesurés pour croire qu’il va changer l’UMP de l’intérieur.
C’est Sens commun qui va être dénaturé.
De toutes façons, je me moque de ce que peut devenir l’UMP, parti pourri parmi les partis pourris.
xenophon
Répétition mais beaucoup s’y feront encore prendre du “Je vous ai compris” du Forum d’Alger!
Les bateleurs n’ont jamais quitté la scène…
DUPORT
On ne mélange pas le bon grain et l’ivraie !