Dans une enquête démographique publiée par Le Figaro en octobre 1985, menée par Jean Raspail avec la collaboration de Jean-François Dumont, les journalistes posaient cette question :
« Serons-nous encore Français dans 30 ans ? »
Vous pouvez retrouver ce dossier de 14 pages du Figaro Magazine du 26 octobre 1985 ici.
Les auteurs avaient pris en compte la différence de fécondité des immigrées et des Françaises, les flux d’immigration et ont montré que le grand remplacement est à l’oeuvre.
Evidemment, les chiffres après 30 années ne sont pas identiques à la réalité, mais les tendances de fond sont correctes : l’immigration massive et continue est réelle; la ségrégation, la loi coranique, les enclaves étrangères en France sont désormais connues.
L’étude s’est trompée sur :
- la fécondité des immigrées, trop importante, et qui, en fait, rejoint en quelques années, celles des natifs de souche;
- la fécondité des Françaises, trop faible ;
- l’allongement de la durée de la vie, qui n’est plus comparable à celle de 1985
- les flux d’immigration, trop faibles, qui montent à plusieurs centaines de milliers de personnes par an au lieu de… 60 000.
L’étude de 1985
Les effectifs globaux
En millions d’individus | 1985 | 2015 est | 2015 réalisé |
Français | 51,4 | 46,2 | |
Etrangers non européens (ENE) | 2,6 | 7,9 | |
Total | 54 | 54,1 | 66,5 M |
En milliers | 1985 | 2015 est | 2015 réalisé |
Français | 660000 | 373000 | |
Etrangers non européens (ENE) | 67000 | 218000 | |
Total | 727000 | 591000 | 760421 |
chrisfree
J’opterai aussi pour cette question : “la France va t’elle connaître le même destin que l’ex-Yougoslavie ?”
D'Haussy
Faut t il se communautariser ?
Comment s’y prendre ?
Comment affaiblir la république ?
Alala le temps presse, tout le monde c’est que niveau démographique, c’est plié.
Collapsus
Erreur sur la fécondité des immigrées : il était effectivement à prévoir que les musulmans seraient comme nous impactés par le matérialisme hédoniste et individualiste qui, tel un acide sournois, ronge toute spiritualité. Ce phénomène pourrait se prolonger et s’accentuer et nous pourrions nous en réjouir si ce n’était également aux dépens de notre propre foi. Malheureusement.