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Culture / Culture de mort : Idéologie du genre

Si le corps n’a rien à dire dans la définition de l’identité humaine, le transgendérisme fait de l’homme un pur esprit

Si le corps n’a rien à dire dans la définition de l’identité humaine, le transgendérisme fait de l’homme un pur esprit

Pauline Tessier, professeur de philosophie et d’anthropologie dans un établissement sous contrat, publie Les pourris-gâtés, c’est à l’anthropologie chrétienne qu’ils en veulent, pour dénoncer ces politiques, activistes constitués en association, profs, juristes, journalistes, fonctionnaires, médecins…  ouverte­ment hostiles au christianisme, culturel ou cultuel.

Elle propose donc un manuel d’auto-défense anthropologique pour tous ceux qui veulent se réapproprier ce que l’on tente de leur confisquer, pour tous ceux qui pressentent que la civilisation occidentale est un patrimoine vivant et vivifiant et qui ne demandent qu’une seule chose : le connaître, l’incarner et le transmettre. Ce livre sur l’anthropologie chrétienne, s’appuie sur et reprend les grandes encycliques des papes Pie XII et Léon XIII. Sauf que l’auteur transforme les idées complexes en messages simples et percutants pour qu’elles soient comprises et partagées par le plus grand nombre, pour qu’il soit capable de saisir, d’analyser et d’interpréter les enjeux anthropologiques de notre époque avec lucidité.

Exemple avec l’idéologie du genre :

Quand catharisme, jansénisme et même transgendérisme font de l’homme un pur esprit (car soutenir que le corps n’a rien à dire dans la définition de l’identité humaine, c’est se définir comme un pur esprit), le Christianisme affirme la dignité et la beauté du corps humain.

Quand le transhumanisme pose “l’homme machine” pour mieux en venir à “homme, pièces détachées consommables”, le Christianisme redit encore que l’homme est un esprit incarné et condamne cette grave dérive anthropologique de la culture et de la science. Ce qui est infligé au corps l’est aussi à la psyché.

Ou encore sur le fameux sens de l’Histoire :

Il ne se passe pas une journée sans qu’un Pourri-Gâté ne vous fasse part de sa remarque so 2025 “Mais ne redoutez-vous pas de passer à côté du sens de l’Histoire ?” “Ne craignez-vous pas de manquer le rendez-vous de l’Histoire ?” C’est qu’au garde-penser de ses formules prêtes à l’emploi, il s’est quand même préparé quelques amuse-gueules un peu “sympatoches”, de mauvaise facture certes, mais qui font néanmoins leur petit effet dans un débat. Et qui ont l’avantage, ce n’est pas négligeable, de rassasier son adversaire à peu de frais. Du moins en apparence. Parce que “le sens de l’Histoire” est à l’intelligence ce que le burrito est à votre estomac : un mensonge. Il donne une impression de satiété pour mieux vous indisposer par la suite. Pour ne citer que ce qui est proche de nous, le “sens de l’Histoire” pontait en 33 du côté nazi et en 41 il avait des petits relents de goulag depuis quelques temps déjà…

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