Ils attendaient leur quatrième enfant quand ils ont appris, à 15 semaines de grossesse, que leur bébé était atteint du syndrome d’Edwards ou trisomie 18. Provoqué par un chromosome 18 surnuméraire ce syndrome entraine la plupart du temps une mort précoce.
Ils décident alors d’avoir recours à l’avortement, à 18 semaines de grossesse. A la grande surprise des médecins, le bébé naît vivant. Sa mère témoigne :
« Je pensais avoir fait le plus dur quand j’ai pris la décision d’avorter, mais je me sens 10 fois pire. J’ai dû regarder les battements de son cœur ralentir et voir la vie s’échapper de lui. Le voir mourir était une torture ».
Le premier comprimé était censé « arrêter la grossesse » avant le déclenchement de l’accouchement. Mais quand le bébé est né, son cœur battait dans les bras de son papa. Sa maman « regrette d’avoir provoqué cet accouchement ».
« Je n’ai même pas de mot pour exprimer l’horreur de ce que je ressens. J’ai lu qu’une personne avait vécu jusqu’à 40 ans avec ce syndrome. Maintenant je me demande s’il aurait pu survivre. Si j’avais su qu’il serait né vivant, j’aurais probablement pris une autre décision ».
Le bébé, né à 15h50 le 9 avril, est décédé 10 heures plus tard à 2h30 du matin.
DUPORT
L’horreur.
Montalte
Prions pour ce bébé, ses frères et soeurs, pour que ses parents se convertissent. Et que ceux qui ont rendu ça possible le fasse aussi.
balaninu20
AMEN !!!