Résumé des faits par Breizh info :
- Le 18 janvier dernier, le cercle parisien d’Academia Christiana organise une conférence sur le bien commun. La journaliste infiltrée y est présente bien qu’il lui soit énoncé que cette formation est réservée aux étudiants et jeunes professionnels, elle indiquera aux formateurs vouloir rejoindre Academia Christiana. Elle retourne assister à une conférence le 25 janvier.
- Puis le 27 janvier, elle se présente à une conférence donnée par l’Abbé Raffray et Baptiste Marchais dans laquelle elle indique venir de la part d’Academia Christiana.
- Le vendredi, le lendemain donc, Sophie Broyet débarque à Sées, en Normandie, ville où se situe l’école catholique hors contrat Institut Croix-des-Vents. Elle a pris rendez-vous avec le supérieur de l’Institut, pour soi-disant y inscrire son fils, pour la rentrée prochaine. Le supérieur pense distinguer une caméra de type Go-Pro, mais n’en est pas certain. Elle demande à pouvoir visiter les bâtiments et les salles de classe, ce qu’elle fait avec l’autorisation du supérieur.
- Le vendredi soir, alors que les élèves internes rentrent dans leur famille par le train, voici notre infiltrée qui se présente à la gare, et qui se met à questionner des jeunes collégiens et lycéens. Sont-ils racistes demande-t-elle ? Les prêtres sont-ils violents ? Connaissent-ils Academia Christiana ? Certains, sentant l’entourloupe, lui répondent avec impertinence et moqueries. Elle interroge une jeune fille qui découvre sa caméra cachée, et lui indique ne pas vouloir lui répondre. Une fois les lycéens placés dans le train, la voici qui filme et prend des photos une fois le train en marche. Un jeune lycéen, extérieur à l’établissement, lui dit qu’elle n’a pas le droit de filmer comme cela. Elle lui sort alors…. une carte de presse.
- Dans la foulée, elle se rend toujours le vendredi du côté de l’école des filles. Où elle interroge une jeune femme qui découvre sa caméra cachée, et lui indique ne pas vouloir répondre à une journaliste.
- Le dimanche 30 janvier, toujours à Sées, notre infiltrée se présente devant l’Institut Croix-des-Vents. Elle y croise Victor Aubert, président d’Academia Christiana, qu’elle ne reconnait manifestement pas, en lui demandant où a lieu la messe. Il lui indique le chemin de l’Église, elle s’y rend. Assiste à la messe, prend des photos, pose des questions notamment sur… Victor Aubert et sur les possibilités de rejoindre Academia Christiana et de s’investir dans la vie politique locale.
- Curieux de voir cette nouvelle arrivante poser autant de questions, et s’informer sur des organisations aussi diverses qu’Academia Christiana, institut de formation, ou que l’Institut de la Croix des Vents, école hors contrat, certains se mettent à faire des recherches et tombent… sur une interview de BFM TV où ils reconnaissent formellement la dame… qui se révèle être une journaliste de France 2, Grand reporter, en la personne de Sophie Broyet.
- Mis au courant de cette infiltration (hé oui, tout se sait !), nous avons contacté d’abord Amandine Loramar par téléphone pour savoir quelles étaient ses motivations à infiltrer ces deux organisations. Puis en lui indiquant savoir qu’il s’agissait de Sophie Broyet. Manifestement surprise, sa réponse aura été de « ne pas savoir de quoi nous parlions », avant de botter en touche devant les informations que nous avions et de nous souhaiter une bonne journée.
Vladu
On savait que les journalistes du Sévice Public étaient des menteurs professionnels, mais là, ça en fait quand même beaucoup d’un coup :
– Sophie Broyet ment une première fois le 18 janvier au cercle d’Académia Christiana.
– Sophie Broyet ment une deuxième fois le 27 janvier en prétendant “venir de la part d’Académia christiana”.
– Apparemment incapable d’ouvrir la bouche sans proférer des mensonges, Sophie Broyet recommence le 28 janvier en prétendant faussement vouloir inscrire son fils à la Croix-des-Vents.
– Estimant qu’il ne suffit pas de tromper les adultes, mais qu’il faut aussi s’attaquer aux mineurs, la menteuse professionnelle trompe les enfants en les filmant contre leur gré. Puis, découverte, Sophie Broyet ajoute encore un nouveau mensonge en essayant de faire croire à ces enfants que sa carte de presse l’autoriserait à filmer les gens (et, en plus, des mineurs) contre leur gré.
– Prisonnière de sa logique de mensonge, Sophie Broyet recommence le dimanche…
– Enfin, comme tous les menteurs pathologiques Sophie Broyet s’installe dans le déni dès qu’elle est découverte, et déclare, sans rougir, ne pas savoir de quoi on parle !!!
Et après, ces menteurs de grand chemin se demandent pourquoi les Français n’ont plus confiance dans la presse (et surtout dans la télévision publique !) et considèrent les journalistes comme le rebut intellectuel et moral de l’humanité, loin derrière les prostituées et les trafiquants de drogue (qui, eux, ont parfois un certain sens de l’honneur, et une certaine honnêteté, jusque dans leurs honteux trafics…)
Ajoutons, pour être complet, que ces menteurs professionnels sont grassement payés avec NOS impôts !
N’y a-t-il pas des moyens légaux pour faire rendre gorge à ces escrocs ?
Vladu
Pour se faire une idée du niveau de mauvaise foi de la Sophie Boyet, je vous recommande le tweet suivant :
https://twitter.com/sophiebroyet/status/1483349906177802242?cxt=HHwWhICyta249ZUpAAAA
Alors que Darmanin s’est complètement ridiculisé en prétendant que les manifestants anti-passe faisaient des saluts nazis – et que la Justice a classé sans suite sa dénonciation à ce sujet – les propagandistes de la télévision d’Etat se mobilisent pour essayer de sauver le ministre d’Etat et faire croire aux naïfs que si, si si, il y avait bien des saluts nazis, ou, tout au moins, que rien ne prouve qu’il n’y en avait pas…
Traquer tous les dissidents à la Pensée unique, les calomnier de toutes les façons possibles, les lyncher publiquement, les livrer à la police du Régime, les piquer de force et les faire envoyer au Goulag : telle est, visiblement la raison de vivre de Sophie Boyer et de ses complices (grassement payés par nos impôts, on le rappelle…)
Qui nous délivrera de ces ordures ?
PierreMontamat
Merci à ces vrais journalistes de Breizh info de nous prémunir contre les faux, je veux dire contre ceux qui dévoient le métier. Prudence, prudence…
incongru
super, son “accrochage” avec les ados, et tout n’est pas perdu quand on lit le résultat : il serait intéressant que les moqueries aient été enregistrées, attitude de la dame comprise ; quant au fait lui-même, quoi d’étonnant ? ces gens-là se croient tout permis, au dessus des lois et des usages, et pour quelle raison : on a le droit d’informer! (éventuellement, désinformer, mais ça, c’est tu, évidemment)