Hier, lors de son intervention, Nicolas Sarkozy a justifié ainsi le non-recours au référendum :
"Pour convaincre tous nos partenaires d’accepter ce nouveau traité simplifié que nous leur proposions et qui n‘était plus une Constitution, il fallait qu’en cas d’accord nous nous engagions à le faire approuver par voie parlementaire. Si cette condition n’avait pas été remplie, aucun accord n’aurait été possible."
"La ratification parlementaire du honteux traité de Lisbonne par la France, en écartant tout référendum, n’a pas été une libre décision française, c‘était une exigence impérieuse de nos partenaires européens, qui l’ont imposée à notre futur président."