"- Avec raison le député des Hauts-de-Seine Thierry Solère a demandé au Garde des Sceaux pourquoi on a aménagé une salle de sport à la prison de Fleury-Merogis tout spécialement réservée à l’assassin terroriste Salah Abdeslam. On croit rêver !
En effet, c’est un acquis de la civilisation que de ne pas infliger de mauvais traitements à un prisonnier, fût-il comme celui-là, un abominable massacreur. Mais il est totalement insensé, irresponsable et criminogène que de se préoccuper autant de la bonne forme d’un terroriste. Cela n’a pour effet que d’amplifier encore l’admiration que toute une faune de plus en plus nombreuse de flambeurs islamo-gauchistes et terroristes en puissance,, sinon en actes, porte pour de pareils héros experts en carnages. Et de dire : « Tu vois, même en prison, on les respecte, ils sont les caïds ! ». Le ministère de la justice fait ainsi un très sale travail.
– Dans le même registre ubuesque d’exception-discrimination pour tout ce qui a trait à l’islam, voici que le ministère qui ose encore s’intituler de l’Éducation Nationale a demandé aux proviseurs des lycées des académies de Paris, Versailles et Créteil d’anticiper l’absence d’élèves qui pourraient manquer aux épreuves du baccalauréat en raison de la fête de l’Aïd-el-Fitr pour qu’ils puissent être reconvoqués pour le lendemain.
Comme si pour cette fête de la rupture du jeûne du ramadan (appelée chez les Turcs « fête du sucre ») les candidats ne pouvaient pas attendre un peu la fin des épreuves avant de s’empiffrer de sucreries. Ils n’en ont pourtant pas été privés tout au long des repas hyperglycémiques de rupture quotidienne du jeûne.
Seulement voilà, les autorités laïques de l’Éducation à la mode de dame Najat Vallaud-Belkacem ne veulent même pas prendre le risque de courroucer quelque islamique gamin gourmand grande gueule.
L’AGRIF dénonce ces nouvelles avancées vers la soumission sociétale à l’idéologie totalitaire de l’islam."