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Squatt du lycée de la rue Jean Quarré : la Ville de Paris bloquée par un “collectif”

Lue dans le Monde, cette déclaration de Bruno Julliard, premier adjoint à la mairie de Paris, au sujet des migrants qui squattent le lycée de la rue Jean Quarré :

"Ces migrants ont, au péril de leur vie, traversé le Sahara, la Méditerranée, fuyant la guerre en Afghanistan, au Soudan ou, pour les Erythréens, une dictature sanglante : la France mais surtout Paris leur doivent l’hospitalité et l’accueil."

Il s'avère que ces belles déclarations ne sont que l'aveu masqué de l'impuissance de la Ville à faire respecter la loi grâce à la présence du collectif "La Chapelle en lutte", qui filtre soigneusement les relations que la Mairie de Paris pourrait avoir avec les migrants, et pose ses exigences. Les représentants de la Ville venus tenter un état des lieux du lycée ainsi qu'une liste – impossible à établir – des migrants présents ont été éconduits et auraient été traités de "vichystes" par des membres du "collectif". Un Etat dans l'Etat, qui parle, dans l'extrait suivant (page Facebook du "collectif"), au nom des migrants du centre Emmaüs-Solidarité de Joinville-le-Pont. Surréaliste :

"Nous vivons dans un foyer entouré de grilles, loin de la ville et cachés par la forêt. Les conditions d’hygiène y sont déplorables. Il n’y a aucun moyen de laver ses affaires, pas même une bassine et de l’eau ; un savon est divisé entre vingt personnes. La nourriture est mauvaise et insuffisante. Tous les jours nous sommes contraints de frauder parce que le centre ne nous fournit pas de titres de transport. Après 23h30, il est impossible de rentrer dormir au centre, et si on ne rentre pas une nuit, on est expulsé définitivement. Les visites sont interdites sauf le week-end ; l’administration du centre a également interdit les visites entre les chambres, mais nous passons outre. Ce n’est qu’au prix d’une longue insistance que nous avons obtenu des cours de français. Nos « conditions d’hébergement » ressemblent à des conditions de détention.

Nous ne sommes pas venus en France par amour pour celle-ci ou pour demander la charité. Nous ne sommes pas venus pour avoir simplement un toit et de la nourriture, nous sommes venus parce que dans nos pays il y a la guerre, nous sommes venus pour être considérés comme des hommes, nous sommes venus pour que nos droits soient respectés.

Aujourd’hui nous demandons : Où est le respect des droits de l’homme ? Où est le respect de la loi française ? Nous voulons que le gouvernement prenne conscience de notre situation."[…]

Etc, etc… Nous avons bien compris que l'amour de la France est le cadet de leurs soucis, et que la charité est un gros mot. Une poignée de gauchistes profite donc de l'été et de la pusillanimité des autorités légales pour imposer aux Français d'accueillir à leurs frais et à leur corps défendant toute une population dont nul ne sait que faire. Le problème avec les migrants, c'est surtout ceux qui les représentent.

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14 commentaires

  1. La France aussi a connu les guerres et la terreur: la révolution française, les guerres de 14-18 et 39-45 pour ne citer qu’elles, et pourtant les français n’ont pas fui. Ils ont résisté. Il y a eu jean Moulin et d’autres moins connus qui y ont laissé leur vie, y compris parmi les communistes.
    Je n’ai aucune sympathie pour le discours de B.Juillard.

  2. Un point de départ réaliste: qui paie? Car non, ce n’est pas gratuit.
    Donc, pour tous les membres de cette association si généreuse:
    a) vous ne payez pas d’impôts sur le revenu: quel niveau d’impôts acceptez-vous de payer dorénavant pour que l’on puisse subvenir aux besoins de vos protégés?
    b) vous payez des impôts: quelle augmentation de vos impôts actuels acceptez-vous de payer dorénavant pour que l’on puisse subvenir aux besoins de vos protégés?
    Stop aux subventions de TOUTE association: maintient de la déduction appliquée aux “dons aux œuvres”: le principe de subsidiarité est alors satisfait. Vous donnez de votre argent: la collectivité vous en est reconnaissante.

  3. Ils ont à faire respecter leurs droits dans LEUR pays tout comme les français feront respecter leurs droits dans le leur.

  4. Et le respect du droit des Français à ne pas être envahis par des allogènes inassimilables? Lesquels s’invitent illégalement, par dizaines de milliers, et réclament des droits (que chez eux ils ne respectent guère, ou pas du tout) mais ne se reconnaissent aucun devoir envers nous!
    Dans leur culture on “prend” un lycée ou une église, un peu comme leurs semblables “prennent” un cargo par piraterie.

  5. Salauds de gauchistes, purs idéologues coupés de la réalité et qui ne mettent pas leurs idées en pratique. Si chacun d’eux accueillait un clandestin, il n’y en aurait pas dans la rue, mais non, ils imposent leurs vues mais c’est aux autres de payer!
    Quand à plaindre les migrants, il y a des limites, il y a un grand déshonneur à abandonner son pays en guerre. Jamais les français n’ont fait cela. Mais ces gens là n’ont aucun sens de la nation comme ils n’ont aucune conscience de leur dignité car cela va ensemble. Ils le disent eux-mêmes: ils estiment n’avoir aucun devoirs mais tous les droits, ils veulent tous gratis et en plus ils veulent être servis!
    Enfin il ne s’agit en général pas de familles, vieillards, femmes, enfants, mais de jeunes hommes.
    Ces gens là n’ont aucune dignité et ne méritent pas notre respect.

  6. Juillet-aout. Période estivale. Vacances pour les français et vacance des autorités. La chienlit et la gabegie continuent de plus belle. La dictature des minorités sévit. Jusqu’à quand ? Combien de temps encore allons nous supporter cette déchéance que nous impose la secte au pouvoir ?

  7. “La France ne peut pas accueillir toute la misère du monde” avait dit Michel Rocard.

  8. Nous n’en voulons pas et demandons à ce qu’ils retournent chez eux.

  9. On reconnait un arbre à ses fruits, les droits de l’homme sont issus de la Révolution, les droits de l’homme c’est tout simplement de la M…
    Les envahisseurs récitent leurs leçons par coeur, on s’en tape, ils faut les expulser pour protéger le futur de nos enfants.
    Tout ce monstrueux b… profite aux cosmopolites, nous n’y gagnons rien, sauf des maux très graves.

  10. Les droits de l’homme et du citoyen ne sont plus respectés en France vis-à-vis des Français de souche. Si ces derniers réagissent contre ceux qui les spolient en occupant leurs maisons illégalement, ils feront de la prison ferme, voire s’ils s’expriment librement (comme Boris Le Lay) contre l’invasion imposée, ce sera encore de la prison ferme. Or, Boris Le Lay n’habite plus en France, ni en Bretagne et réside à l’étranger.
    Si demain au retour des vacances, des personnes découvrent que leurs habitations principales sont occupées par des squatters gauchistes à leur détriment, elles ne pourront pas retourner chez elles et là, ce sera une réaction violente…
    Les droits de l’homme en France sont bafoués par le système…
    Un jour où l’autre ce sera la guerre civile…

  11. En accord total avec Michel Ange
    Ces gens sont des parasites ni plus ni moins.
    Ils n’ont aucune dignité et ne mérite pas le respect sauf à de très rares exceptions.
    Qu’ils aillent se faire pendre en Angleterre et leurs soutiens avec.
    Balek. Qu’ils dégagent.

  12. @ Michel-ange :
    Je comprends complètement votre réaction, mais sur un point je voudrais vous dire mon désaccord : il y a eu des français qui ont quitté leur pays en guerre, je pense à cette dramatique année 1940 qui a vu notre plus terrible défaite militaire… des français, dont certains bien distingués, et parfois bien étoffés, se sont mis à l’abri en amérique, d’où ils ont bien souvent, trop souvent, craché le vinaigre et le fiel sur d’autres français qui avaient eux aussi quitté la France, mais c’était pour continuer la lutte contre l’Allemagne nazie, aux côtés de ceux qui n’avaient jamais renoncé !
    En espérant que mes propos ne vous choqueront pas, je suis un gaulliste indécrottable et obstiné

  13. Le petit gris du Gabon est un perroquet trés doué pour reproduire la parole humaine , mais alors , mais alors, c’est de la rigolade à côté du pantin nommé bruno julliard .
    Un vrai numéro de cirque

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