Un gynécologue obstétricien du CHU de Bordeaux a été mis en examen pour « blessures involontaires » sur une jeune femme qui a dû être amputée à la suite d'une infection nosocomiale contractée lors d'un avortement.
Elle a dû être amputée des deux pieds, de l'avant-bras droit et de la main gauche. L'avocat du médecin a déclaré
« Il y a un côté dramatique qui rappelle qu'aujourd'hui aucune opération n'est bénigne ». « Cela affecte le médecin qui est d'abord là pour soigner ».
Pour soigner… pas pour tuer.