Nous avons évoqué hier ce congrès international qui se tient en Italie avec des personnalités de premier plan.
Le Congrès a repris ce matin, avec Don Fortunato di Noto, prêtre engagé dans la lutte contre la pédo-pornographie :
- Le révérend Jim Garlow, fondateur de Wellversed, qui promeut les principes bibliques auprès des leaders politiques :
- Le duc d’Anjou, Louis-Alphonse de Bourbon : les idéologies peuvent tuer, comme le montre l’exemple de Marx. Son discours est ici. Extrait :
Mais l’histoire nous apprend que l’excès mène toujours à la saine réaction. Ne la voit-on pas venir actuellement ? Elle passe par les familles qui, partout, commencent à réagir de multiples manières. Là c’est en reprenant ses droits naturels sur l’éducation et l’instruction ; là en recréant des structures pour la petite enfance, pour les personnes âgées ou handicapées ; là en s’affirmant, comme en France actuellement, pour retrouver un niveau de vie décent et ne pas être accablées de taxes et règlements multiples n’ayant de sens que pour ceux qui les élaborent. Ce retour au réel est mené par les familles. Ce sont elles qu’il faut encourager en leur redonnant un cadre d’action précis.
Celui-ci passe par trois points : la reconnaissance de la famille comme cellule de base de la société, celle dont découleront les autres, la commune, les communautés de travail qu’il soit manuel ou intellectuel et cela jusqu’à l’Etat qui peut ou non encourager les familles ; ce cadre doit ensuite exalter la vie dans toutes ses expressions c’est-à-dire rejeter ce qui la détruit avant la naissance comme au moment des dernières années. Nous devons assurer à nos enfants comme à ceux qui nous ont précédés l’assurance d’une existence la plus paisible. Enfin le troisième pilier d’une société équilibrée est celui de la justice qu’il faut entretenir pour garantir à la société un équilibre entre ceux qui la composent. Nous savons qu’il y aura toujours des forts et des faibles, mais le bon gouvernement est celui qui permet au fort d’exercer ses talents et au faible de n’être pas opprimé. Chacun à sa juste place, tel est le secret d’une société équilibrée. La France d’Ancien Régime l’avait compris et les Rois, mes ancêtres, génération après génération, ont toujours eu à cœur de faire respecter cette justice qui était leur premier devoir dont le sacre était le garant. Rompre cet équilibre en donnant la priorité non plus à la loi éternelle mais à la loi contingente que des majorités de hasard et de circonstance peuvent changer, est ce qui a entraîné nos sociétés dans l’impasse.
- Mgr Salvatore Cordileone, archevêque de San Francisco, et le patriarche Ignatius Joseph IlI, patriarche syriaque catholique d’Antioche
- Nicolas Bay, député RN au Parlement européen :
- Elisabetta Gardini député européen Forza Italia : Elle suggère de distinguer l’opinio publica et l’opinio publicatta… Elle dit qu’elle est contre la dictature de la majorité, mais encore plus contre la dictature de la minorité
- Jacopo Coghe, deputy chairman du Congrès Mondial des Familles de Vérone
Salvini arrive :
- Giorgia Meloni, présidente de Fratelli d’Italia
- Katalin Novak ministre hongroise de la famille : à propos de fake news, elle raconte qu’un média hongrois commentait ce matin le discours qu’elle n’avait pas encore fait ! Elle ajoute : le gouvernement hongrois donne de l’argent aux jeunes mariés, mais « comme nous sommes conservateurs, nous leur donnons pour en faire ce qu’ils veulent ; ce n’est pas au gouvernement de leur dire quoi en faire ». Nous, nous sommes « pour »; ceux qui sont contre, ce sont les adversaires !
- Matteo Salvini :