Tous les groupes quasiment sans exception appellent à « une réflexion sérieuse sur l’idéologie du gender ». Dans le groupe francophone présidé par le cardinal Sarah, « la théorie du genre a fait l’objet d’une ample discussion » pour décrier son caractère « idéologique notamment quand elle est diffusée voire imposée par certaines organisations internationales ».
Cette nouvelle idéologie est l’un des deux défis majeurs identifiés par un groupe francophone, avec le développement de technologies bioéthiques « qui permettent de décomposer et de recomposer le vivant lui-même » (clonage, mères porteuses, manipulation génétique etc).
La plupart des groupes pointent « la responsabilité des politiques publiques » à l’égard des familles. Un groupe hispanophone dénonce même des « politiques anti-familles ».
Le groupe présidé par le cardinal Sarah souhaite que le document du synode commence par
« rappeler que ‘la famille est le pilier incontournable et irremplaçable de la vie en société’».