Le chef de la diplomatie française, Laurent Fabius, a pour la première fois envisagé que des forces du régime syrien puissent être associées à la lutte contre le groupe Etat islamique. Sur RTL, le ministre a estimé que, pour lutter contre l'EI,
"il y a deux séries de mesures: les bombardements (…) et des forces au sol, qui ne peuvent pas être les nôtres, mais qui doivent être des forces de l'Armée syrienne libre (opposition), des forces arabes sunnites, et pourquoi pas des forces du régime".