Interrogé sur BFMTV et RMC ce jeudi 23 avril, Christophe Castaner a estimé que ce qu’il qualifie de simples « tensions » n’était pas « d’un niveau de gravité exceptionnelle », déclenchant une vive polémique.
En plus de minimiser la situation, le ministre de l’Intérieur a également tenté de défendre les racailles :
« Les causes sont nombreuses mais il y a notamment l’effet du confinement, la dureté du confinement pour ces jeunes gens ». « Ce sont des petits groupes qui pensent que ce serait ludique d’attaquer les forces de l’ordre et de brûler des poubelles ». « Mais je pense aussi à cette galère dans laquelle ils sont, à cette pauvreté qu’ils vivent auprès de leurs proches et qui peut provoquer une colère. La bonne réponse à la colère, ce n’est pas de casser, ce n’est pas de brûler la voiture de son voisin, qui lui aussi vit dans cette colère-là. Nous devons accompagner ces jeunes ».
L’idéologie gauchiste dans toute sa splendeur. Face aux gilets jaunes, bien plus pauvres, le ministre tenait un tout autre discours.
Peut-on dire que ces propos ont encouragé les émeutiers à poursuivre leur guérilla ? Ils ne s’en sont pas privés, cette nuit à Strasbourg, Tourcoing, Hem, Roubaix, Gennevilliers, Chanteloup, Neuilly sur Marne,
incongru
bien sur, mais je n’ai pas vu un déni de cette politique dans les urnes, récemment…
2018
Ils ne brûlent jamais la voiture du voisin, ils savent distinguer les voitures des céfrancs de celles des frères.
F. JACQUEL
Lors des élections, nombre d’électeurs doivent penser que l’œil de JUPITER est dans l’isoloir et observe ce qu’ils glissent dans l’enveloppe, en particulier s’Ils envisagent de voter pour le parti-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom…
philippe paternot
le mensonge, sans vergogne ou par omission est le leitmotiv de ces bobos au pouvoir
que les gaulois réfractaires s’en souviennent aux prochaines élections