"On vous dit : mariage pour « l’égalité des droits » ou « mariage
pour tous ». Et on vous vante la « tolérance à la différence ». Ce sont de magnifiques concepts
désincarnés qui font pleurer sur les plateaux télé. Sans nier bien sûr la douleur des homosexuels, nous affirmons
que l’on ne peut pas satisfaire les revendications de quelques lobbys gays sans dégâts « pour tous », justement.Nous vous proposons donc de parcourir notre chronique « Tendance gay, avenir
sombre ». Loin des idées creuses et des projecteurs, vous verrez les conséquences des
faits proposés par les lobbys :
- savez-vous que la médecine moderne a découpé la
procréation comme Taylor a décomposé le travail ? Et que, de la même manière que l’on fabrique des parties
d’un aspirateur aux quatre coins du monde, on peut fabriquer un enfant avec un père donneur, une mère donneuse, une mère
porteuse, un médecin et divers laborantins pour assurer l’assemblage sur cette dernière, et enfin des «co-parents »
adoptifs qui pourraient d’ailleurs changer dans le temps ? C’est ça, techniquement parlant,
l’homoparentalité. - savez-vous que des mères porteuses mettent aux enchères la location de
leur corps pour une grossesse ? Après la taylorisation, le boursicotage est la suite logique. - savez-vous que des homosexuels sont prêts à payer 150 000 dollars pour
fabriquer des bébés à l’aide de mères donneuses et de mères porteuses ? C’est la dure loi du
marché. - savez-vous que des associations de militants de la cause (!) homosexuelle, grassement
subventionnées via vos impôts, vont dans les écoles, y compris primaires, pour « lutter contre l’homophobie » ?
C’est la redistribution des richesses en subventions. - savez-vous que des lesbiennes françaises vont se faire inséminer en
Belgique, privant leur enfant de la possibilité de connaître leur père ? C’est le marché commun ! - savez-vous que les enfants de couples homosexuels sont plus victimes d’abus et
ont moins de facilité d’emploi que les autres ? Précarité familiale, précarité sociale ! - savez-vous que les formulaires administratifs ne demanderont plus à vos enfants
les noms et prénoms de leur père et de leur mère parce que l’on veut les remplacer par les concepts abscons de «
parent1 » et « parent2 » ? Eh oui, le « mariage pour tous », c’est un changement pour tous !"