Valeurs actuelles présente le "dilemme" de Nicolas Sarkozy :
Approuver le mariage [sic] gay, quitte à mécontenter son propre électorat ? Ou s’y opposer, au risque d’accentuer le fossé avec l’électorat jeune et de gauche ?
Si des calculs électoraux peuvent dissuader Sarkozy de soutenir les revendications "gay", tant mieux. Mais un homme politique responsable s’y oppose d’abord parce qu’elles sont contraires au bien commun; par exemple Jean-Marc Nesme, interviewé par VA :
Les couples homosexuels ont choisi un mode de vie qui contredit leur désir d’enfant. Je peux comprendre qu’ils vivent mal cette contradiction douloureuse, mais ils ont fait ce choix. Il n’est pas admissible de bouleverser radicalement le droit de la famille pour satisfaire les revendications idéologiques d’une minorité de cette minorité. Ce serait promouvoir une révolution anthropologique fondée sur un mensonge : le déni des différences entre les sexes, entre l’homme et la femme, le masculin et le féminin, le père et la mère. En un mot, le déni de l’altérité. Et l’on ne peut pas construire une société équilibrée sur le mensonge.
Henri Védas
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Ingomer
Les “mariages” homosexuels “au nom de l’Egalité” sont un mensonge. Il y a une différence des sexes “entre l’homme et la femme, le masculin et le féminin, le père et la mère”. Dès lors, nier cette différence des sexes à des fins idélogiques “égalitaires” constitue le mensonge, un “déni d’altérité”, une négation de la différence des sexes et une négation de la vie tout court. Ce qui n’est évidemment pas tolérable dans une société qui se veut démocratique, qui se veut “au service du peuple” et de la société.
Les revendications catégorielles et minoritaires au sein de la minorité homosexuelle, “au nom de l’Egalité”, vont donc
1- à l’encontre de la vie… ce qui est indamissibble car le mouvement enclenché en ce sens, il peut suciter toutes les dérives totalitaires inimaginables (!), toujours “au nom de l’Egalité” (!), évidemment… [On a déjà donné en URSS!]
Et 2- C’est, ne l’oublions pas, nier les droits des enfants à avoir un père et une mère ; ce qui est tout autant inadmissible.
Ces deux seuls arguments suffisent à enterrer définitivement les arguments homosexuels “égalitaires…” comme arguments totalitaires, mortifères et infanticides.
HC
Cette négation de la différence des sexes est malheureusement une idée défendue par les lobbies féministes américains depuis les années 80, sous le nom de théorie du “gender”. Depuis, elle a fait son chemin avec le succès que l’on peut observer aujourd’hui.