C'est l'analyse de l'abbé de Tanoüarn. dont voici un extrait :
"[…] Catholique ce film ? – Sociologiquement sans doute, je l'ai dit. Mais surtout théologiquement. une fois de plus la grande question du film est celle du mal. Le mal est partout : Jessica Chastain, si passive dans son amour inconditionnel pour son mari et ses enfants, n'est-elle pas elle-même un relai du mal ? Son fils aîné le lui reprochera. Lui voudrait tout simplement tuer le père, qui, au nom du Bien et parce qu'il aime ses enfants, fait régner sur la maison une atmosphère de terreur. […]"