Son président, Eric Doligé (UMP), semble vouloir cesser de subventionner les associations qui produisent des spectacles promouvant la théorie du genre. Il répond à Stéphane Barbereau sur France Bleu Orléans (à partir de 2'09'') – on appréciera le "lancement" très "neutre" du journaliste :
Clovis
Bravo à ce président de Conseil général qui exprime la voix du bon sens et en tire les conséquences financières. Le vrai scandale c’est que l’argent des contribuables ait pu servir à soutenir des spectacles contre nature!
zig
Une proposition simple : écrire à ce Monsieur, le féliciter.
Jacques
Il y a quelques hommes politiques courageux, ca fait plaisir.
Maintenant, après le courage doit venir la cohérence, et ici ce serait de quitter l’UMP qui a contribué à la promotion de cette théorie (ou de cette rumeur).
Maurice
Heureusement qu’il y en a pour redorer le blason bien noirci des politiques !
D’autres départements oseront-ils faire la même chose ? Même de la part de maires cela ferait du bien de le constater, mais attention de ne pas aller trop loin tout de suite, il faut faire comprendre petit à petit les décisions qui vont être prises, pas trop vite pour ne pas susciter l’ire de la population parmi laquelle certains n’attendent que ça pour sauter sur la première occasion et crier au loup ! (chacun sait que le premier qui crie a raison, hélas)
CREOFF
De fait la théorie du genre est très soutenue par tous les milieux artistiques, bobos bohèmes, même au fin fond des campagnes. Des femmes, qui n’ont jamais exercé que des métiers de femme hyperprotégées, se font les chantres beats de l’épanouissement de la femme dans les métiers du batiment (jamais soulevé un parpaing de 30 surement ni un sac de 35 kg de ciment). Et les hommes un peu efféminés, se disent prêts à accepter qu’une femme prenne les activités physiques pendant qu’ils chantent et dansent: “pourquoi pas si elles ont été élevées pour cela! Nous on n’a pas développé de muscles donc on laisse notre place!” ben voyons!
Ca va être dur, les nanas, de mettre les hommes au boulot: les femmes au champ et les hommes à la palabre sous le baobab! On croit rêver! Ce n’est pas ainsi qu’on va redresser la France!