Choisir la Vie appelle à prendre en compte les conséquences de l’arrêt de la Cour de Cassation :
"Choisir la Vie appelle donc de ses vœux une harmonisation de la jurisprudence des chambres civile et pénale de la Cour de Cassation dans la reconnaissance de l’existence d’un enfant in utero.
Plus encore, à l’heure où les détracteurs du droit à la vie de l’enfant à naître se réfugient sur la loi pour tenter de banaliser et de réduire à un simple « amas de cellules » l’enfant in utero, au motif que les dispositions législatives autorisent l’avortement jusqu’à 12 semaines, Choisir la Vie encourage le législateur à tirer les conséquences de cette jurisprudence et à venir reconnaître le statut de l’enfant à naître, être humain dès la conception, dont la reconnaissance vient ainsi d’être amorcée par le pouvoir judicaire et que l’état actuel de la science ne saurait nier."