Tony Blair a appelé les leaders religieux à "affronter la réalité" et à cesser de réprouver l’usage des préservatifs pour lutter contre le sida. Il s’est montré extrêmement critique à l’endroit de la position du Vatican sur la contraception.
"Le danger est que si vous avez une interdiction générale venant de la hiérarchie religieuse (…), alors vous découragez les gens de le faire (recourir aux préservatifs) dans des circonstances où ils ont besoin de protéger leurs vies".
Le Premier ministre britannique s’est aussi engagé à favoriser la distribution des préservatifs.
Il serait bon que Blair affronte cette réalité. Et qu’il s’informe sur ce qu’enseigne le Pape à ce sujet.
Gégé
M Blair a pourtant chez lui des chefs religieux qui profèrent de véritables appels à la guerre sainte…
Je crois qu’il devrait commencer par cela….
Simon
Blair, qui dirige un pays qui autorise l’avortement jusqu’à 24 semaines, se croit autorisé à dicter au Pape ce qu’il doit dire, à propos de la vie? (car il prone les preservatifs pour la vie)
L’hôpital se fout de la charité.
Jean Perez
C’est maintenant une habitude chez les démagogues de forcer sur l’autosuggestion et de donner des leçons de théologie aux théologiens eux-mêmes, même musulmans. Il suffit de se rappeler comment George Bush, le même Blair et d’autres de ce côté de la Manche s’évertuent à donner des leçons d’islam aux Musulmans en leur expliquant le vrai sens de leur foi, toute faite naturellment de tolérance (comme les maisons du même nom), d’amour de la paix et du prochain.
“Cordonnier, pas plus haut que la chaussure…”
Jean Pérez
D’autant que le discours des dignitaires religieux atteint principalement les ouailles des sus-dits dignitaires. Or, en général, le Saint Père associe à cette interdiction (notion négative), une recommandation (notion positive), celle de la chasteté.
Le message est donc encore une fois tronqué.
Ingomer
Ave César !…
Sancenay
c’était écrit ( en filigrane) dans la chanson:
Pauvre blaireau, pauvre misère,
creuse le temps, creuse la terre.
et pour se refaire une santé on peut entonner allègrement à la suite : “sans le latin, sans le latin, la messe nous…”