Lu sur le blog d’Yves Daoudal :
Quelque 35 « psychologues » ont démissionné du London’s Gender Identity Development Service (GIDS) ces trois dernières années, pour cause de « surdiagnostics de dysphorie de genre chez des enfants ».
Le nombre d’enfants traités, qui soi-disant voulaient changer de sexe, était passé de 77 à 2590 en dix ans. On leur prescrivait un traitement qui bloque le développement hormonal et stoppe la puberté, avant une « thérapie hormonale » théoriquement non donnée avant 16 ans parce qu’elle est irréversible. Comme si à 16 ans, dans un monde aussi déboussolé et soumis à une propagande LGBT massive, on pouvait décider en toute connaissance de cause… Cf. ce témoignage d’une victime, Thomasin (qui se dit heureuse de ne pas avoir franchi la dernière étape) : « J’étais nourrie de cette idée que tu pouvais changer de sexe. »
Il est apparu (quelle surprise…) que le plus grand nombre d’enfants ont été victimes d’une « erreur de diagnostic ». Certains disent qu’ils ont agi ainsi parce qu’ils avaient peur d’être traités de « transphobes ». L’un d’eux craint d’avoir été « aux premières loges d’un scandale médical ».
Il faut enfermer les LGBT, ils sont vraiment cinglés.
Addendum : un lecteur nous signale que ce dernier propos peut être considéré comme “homophobe” (selon la terminologie destinée à nos empêcher de penser). Nous tenons à préciser que nous distinguons les personnes homosexuelles pour lesquelles nous prions volontiers et les homosexualistes, idéologues LGBT que nous tenons pour des cinglés