Le 4 août est entré en vigueur un décret daté de la veille, "relatif aux provocations, diffamations et injures non publiques" qui renforce la répression de tout propos privé ayant un caractère de
« provocation, diffamation et injure non publiques à caractère raciste, sexiste, homophobe ou handiphobe »,
et
« élargit ces infractions aux cas où elles sont commises en raison de l’identité de genre de la victime »
Ce qui permet d'inclure la transphobie, nouvelle lubie du lobby LGBT.
Le décret
« substitue à la notion de race, qui n’est pas applicable aux êtres humains, celle de “prétendue race” ».
Il est donc désormais interdit de dire du mal de la prétendue race des hommes qui se prétendent femmes et vice versa.