Laissez-les-vivre s'insurge contre le remboursement de la nouvelle pilule abortive :
"En cette veille d'automne, on ne sait pas encore si le déficit annuel de la sécurité sociale atteindra 27 ou 30 milliards pour l'année 2010. Par contre, ce que l'on sait déjà c'est que le déficit de la branche maladie devrait atteindre les 15 milliards d'euros soit une augmentation du déficit de 50% par rapport à 2009.
Augmentation du forfait hospitalier de 16 à 18 euros, déremboursement total ou partiel de certains médicaments, taxation de 3,5% des mutuelles frais de santé, baisses de prix des médicaments remboursés, mode de calcul moins favorable pour les assurés des indemnités journalières d'arrêts de travail, baisse des tarifs chirurgicaux de la cataracte ne représentent que 600 millions d'économies, soit 2% du déficit maladie. Mais pour la pilule dite du surlendemain EllaOne : aucun problème ! […] Notons que des millions de français, et notamment d'enfants ne disposent pas de ressources suffisantes pour changer leurs verres correcteurs, ni se faire soigner les dents, tellement les remboursements « sécu » sont ridicules et que même les meilleures « mutuelles » sont loin de couvrir les frais réels d'optique et de chirurgie dentaire."
eulalie
Bonjour, je craindrais qu’il y ai encore pire derrière cette pilule du surlendemain. Quelle est ce nouveau poison qu’ils veulent faire avaler à nos jeunes femmes ??? Ce matin “une militante contraceptive” interrogée par France-info à cette occasion a proféré des énormités : l’ovulation pourrait avoir lieu à n’importe quel moment du cycle, sans que personne ne puisse la repérer et les spermatozoïdes hypper-résistants pourraient eux, rester en planque une semaine ! C’est du délire, de l’obscurantisme. C’est nier la magnifique “horlogerie de la fécondité féminine base de toutes régulations naturelles des naissances. Oui alors dites nous les vrais médecins, qu’y a-t-il dans cette pilule de si intéressant pour “Big Brother “???
Marie
Je pense qu’une bonne communication sur le sujet pourrait faire faire machine arrière. En effet, les français ont peur du déficit et peuvent très bien comprendre que ce remboursement, ne serait-ce qu’à ce titre, est déplacé. Une fois qu’ils auraient compris, la pression se ferait sur le gouvernement et la machine pourrait faire machine arrière.
Le problème, c’est que tant que ce sont seulement ceux qu’ils considèrent avec mépris comme les “catho anti-avortement” qui grincent, ils n’en ont pas grand-chose à cirer…
Le hic, la question : comment agir ?