Les dépenses de l’Etat augmenteront de 2,1% en 2025. Les 40 milliards d’économies promis par Barnier étaient en fait “calculés par rapport à une tendance initiale de forte augmentation des dépenses”…
En revanche, la hausse de 20 milliards d’impôts est bien réelle…
Le projet de loi de finances (PLF) doit être présenté jeudi en Conseil des ministres. L’annonce du gouvernement déconomiser près de 40 milliards d’euros est une vaste intox, ce chiffre de 40 milliards de baisses des dépenses ne doit pas être pris au sens littéral.
Collapsus
Courage, fuyons ! Barnier ne brillait pas par son caractère tranché, volontaire et autoritaire. De surcroît, il doit faire avec un contexte difficile si ce n’est hostile. Résultat, une entourloupe de plus dont les contribuables font les frais comme d’habitude. Car la hausse d’impôts annoncée cette année pour une minorité de contribuables ne sera que la première d’une longue série pour tous les Français, droits de succession, TVA, taxes électricité, déduction des aides à domicile, non-indexation des retraites et des tranches d’imposition etc..,, elles vont se succéder au fil des mois. Par ce tour de bonneteau, on ne touchera pas au train de vie somptuaire de l’État et on fera cracher le Français déjà tellement assommé qu’il ne bronchera pas. C’est tellement plus facile de presser le citron que de supprimer des dépenses.
Ainsi va la vie dans le meilleur des mondes en République française.
Michel
La Ripoublique est le régime du mensonge et des voyous qui grugent le peuple en lui faisant croire qu’ils gouvernent pour son bien…
hdemlt
Halte aux commentaires répétés et inutiles et…..
Foutons les dehors!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Collapsus
Puisque les élections ne servent à rien, vous fournissez les kalach ?
Garde67
Lors de la deuxième séance de l’Assemblée Consultative, du 29 mars 1945, le ministre des Finances (René Pléven) déclarait ceci :
“J’ai dit que l’impôt serait difficile à établir. Je sais qu’il demandera aux administrations financières chargées de l’asseoir et de le percevoir, et surtout aux contribuables, des préoccupations, des soucis, des sacrifices supplémentaires.
Mais à ceux qui seraient tentés de se laisser aller à la mauvaise humeur, je rappellerai simplement ceci : tout Français qui finit cette guerre avec ses bras, sa santé et sa liberté est un privilégié : tout Français qui a pu conserver, au cœur de cette tourmente, une parcelle de ses biens de jadis, de ses épargnes, de son patrimoine, est un favorisé du destin”.
Dans la période difficile qui est la nôtre, mais quand même pas plus terrible qu’en 1945, il n’est pas injuste de demander un petit effort contributif à ceux qui ont vu, leurs revenus et leurs patrimoines s’accroître.
Mais cela n’exonérera pas les Pouvoirs publics de lutter contre toutes les fraudes, fiscales, sociales et économiques.
Et puis, et cela est le plus important, prendre conscience des dépenses et de leur moralité.
Est-il juste et moral de financer l’avortement, l’euthanasie, la recherche sur l’embryon, la transition de genres, la PMA et la GPA ? N’y a-t-il pas là quelques économies à faire ? La politique familiale, incluant l’accueil de la vie, couterait bien moins qu’un politique mortifère nécessitant structures, personnel et mobilisation de capitaux.
On est en droit aussi de s’interroger sur l’empilement des structures administratives : communes, communautés de communes, départements, régions, ainsi que les Parcs naturels régionaux ou nationaux. Sans omettre non plus les nombreuses agences en tout genre.
Les citoyens ont le droit de s’interroger sur les décisions politiques et leur financement public les concernant directement dans leurs vies familiales : choix énergétique (éolien, solaire, nucléaire…), mode de transports collectifs ou privé, pertinence des carburants utilisés (essence, diésel, électrique…), consommation (normes en tout genres) etc.
Sur le sujet des retraites, enfin, il faut être cohérent et lucide. Si l’on souhaite la pérennité du système par répartition, somme toute assez juste, cela suppose un équilibre cotisant/retraité. Cet équilibre est compromis par la démographie en berne, laquelle est mise à mal par le nombre considérable d’avortements et la baisse de la natalité. Ne restera-t-il que l’immigration pour payer nos vieux jours ?
Je crains fort qu’une politique à très court terme ne résolve aucun de ces problèmes. Les jours du gouvernement Barnier sont comptés.
zongadar
C’est très simple, ils sont en guerre contre le peuple…vous n’aurez plus rien et, mettez vous cela dans le crâne puis le coeur, comme cette guerre est en fait et avant tout spi, priez…( https://qactus.fr/2024/10/06/france-bertrand-scholler-qui-est-emmanuel-macron-pourquoi-lui-et-aucun-autre-antechrist-des-khazars/ ). Choisir l’un ou l’autre comme ministre n’est qu’une opération de présentation marketing pour le même produit.