Pour le spécialiste des épidémies, le COVID ne présente un danger que pour les populations à risque.
“C’est les gens qui étaient déjà âgés, qui avaient beaucoup de pathologies: de l’hypertension, du diabète. Mais à la fin, ça ne présente pas une surmortalité exceptionnelle. C’est grave chez les sujets qui sont déjà à risque, c’est pourquoi il faut essayer de détecter le plus tôt possible, avant qu’ils aient une insuffisance respiratoire”.
“L’histoire de rebond, c’est une fantaisie”.
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Ce délire a été délibérément créé et est sciemment entretenu par nos propres dirigeants. L’enjeu de cette farce grotesque est de susciter une terreur telle au sein la population que celle-ci accepte que des mesures de nature totalitaire soient prises sans réel débat et sans terme précis. Et nous assistons pétrifiés à la naissance, sous nos yeux, d’une nouvelle forme de totalitarisme.
Sophie
Ce n’est pas si naissant que cela. A mon sens il aurait fallu réfléchir depuis longtemps à la médecine, à son dévoiement, et à limiter son pouvoir dès lors qu’il ne s’agit plus de soigner. Depuis l’avènement de la psychiatrie il y a un gros problème, qui s’est étendu avec l’avortement, la pilule, les opérations de changements de sexe. Avec la psychiatrie, on s’est habitué à ce que la médecine soit une manière de penser. Il faillait réfléchir: fait-on de la philosophie ou soigne-t-on des malades par exemple? Quand on interne des gens qui comme les confinés peuvent faire mieux qu’être enfermés, les aide-t-on? Qui se posait ces questions sur la libertés des internés à l’hôpital, et qui s’en posera?