Cela n’étonnera personne. Angela Merkel s’est insurgée contre “l’impardonnable” élection d’un membre de son partii en Thuringe grâce aux voix de l’AfD. Jacques Chirac, hostile à toute union des droites, avait également pesé de tout son poids en 1998 pour faire démissionner Charles Millon de la présidence de la région Rhône-Alpes.
La chancelière allemande Angela Merkel a qualifié jeudi «d’acte impardonnable» l’alliance électorale régionale inédite entre son parti et l’extrême droite en Thuringe, qui a provoqué un séisme politique dans le pays.
«Il faut dire que c’est un acte impardonnable et que par conséquent le résultat (de cette élection) doit être annulé»
Même trahisons, même refus d’un front commun de la droite, même déni de la démocratie et même bilan négatif de 14 années de pouvoir…
F. JACQUEL
La démocratie est une affaire trop sérieuse pour être confiée au peuple. En fait, il y a 2 solutions : faire revoter la plébe jusqu’au choix voulu par les oligarques ou changer le peuple (version Brecht). En France, c’est cette seconde solution qui a été choisi par JUPITER et ses séides : tout est fait pour submerger les Gaulois réfractaires par un tsunami immigratoire, musulman de préférence.
incongru
tout cela pour contrer l’extrème droite, qui rappelle les “nazi”,en 1930 et suite ; mais, le socialisme, quand il est national, est-il de droite ?
le nationalisme fait-il obligatoirement l’éloge d’une “de seigneurs” ?