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Culture de mort : Idéologie du genre

“Transgenre” : Une victime porte plainte contre le médecin qui charcute les adolescents

“Transgenre” : Une victime porte plainte contre le médecin qui charcute les adolescents

Lu sur le blog d’Yves Daoudal :

Kaya Clementine Breen, étudiante de 20 ans à l’université de Californie à Los Angeles (UCLA), a porté plainte le 5 décembre contre le Dr Johanna Olson-Kennedy, l’hôpital pour enfants de Los Angeles (CHLA) et les autres personnes qui l’ont poussée à subir des traitements transgenres irréversibles alors qu’elle n’avait que 12 ans.

Johanna Olson-Kennedy est le plus célèbre praticien américain en en matière de traitements et d’opérations chirurgicales « transgenres ». Elle est la directrice médicale du « Centre pour la santé et le développement des jeunes trans » (sic) à l’hôpital pour enfants de Los Angeles.

Elle avait diagnostiqué une « dysphorie de genre » chez Kaya Clementine Breen après quelques minutes d’entretien et lui avait aussitôt prescrit des inhibiteurs de la puberté. Kaya Clementine Breen avait été soumise à des « traitements » transgenres tels que des hormones de sexe opposé à l’âge de 13 ans et à une double mastectomie à 14 ans.

Johanna Olson-Kennedy est accusée d’avoir menti aux parents à plusieurs reprises, notamment en leur affirmant que les bloqueurs de puberté sont « complètement réversibles », et que « s’ils n’acceptaient pas l’hormonothérapie transsexuelle, Clémentine se suiciderait ». La citation à côté du portrait de ce monstre est un autre mensonge : « L’autre avantage de la chirurgie de la poitrine est que si vous voulez des seins plus tard dans votre vie, vous pouvez les avoir. »

Le mois dernier, Johanna Olson-Kennedy a admis qu’elle avait refusé de publier les résultats d’une étude de plusieurs millions de dollars sur les effets des bloqueurs de puberté sur les mineurs, parce que l’étude concluait que « les bloqueurs de puberté ne conduisent pas à des améliorations de la santé mentale » chez les mineurs. Elle craignait que les résultats de l’étude ne soient utilisés devant les tribunaux pour faire valoir que « nous ne devrions pas utiliser de bloqueurs » sur les mineurs.

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