L'incertitude demeurait totale hier sur le début de l'examen du texte sur le travail dominical. En réunion de groupe, mardi matin, les députés UMP ont encore affiché leur discordance. Les débats commenceront, au mieux, aujourd'hui en fin de journée, voire jeudi, selon M. Accoyer. M. Copé a même estimé que ce serait "vraiment miraculeux" que le débat puisse débuter avant Noël. Le gouvernement a décidé que les députés n'entreraient dans le vif du sujet, à savoir l'examen des articles du texte, qu'à partir du 15 janvier. La procédure parlementaire exige que la plupart des amendements soient examinés, en commission, avant le démarrage officiel de l'examen du texte. La gauche doit réécrire ses amendements pour les adapter au nouveau texte.
Pierre Cheynet, Secrétaire départemental du Front National de Haute-Loire, rappelle à qui l'on doit le repos dominical, inscrit dans la loi en 1906 :
"nous rappelons notre attachement indéfectible à cette grande conquête du catholicisme social qu’est, depuis la fin du dix-neuvième siècle, l’interdiction du travail le dimanche, comme l’ont été jadis, sous l’impulsion d’Albert de MUN, l’interdiction du travail des enfants ou l’instauration du salaire minimum légal
CADOUDAL
avant les chrétiens sociaux ,la restauration qui interdisait le travail du dimanche.avant sarko, les philosophes et les sans culotte qui supprimaient le dimanche pour la prospérité