Le gouvernement a publié mardi un décret qui autorise les enseignes de bricolage à déroger jusqu'au 1er juillet 2015, au repos du dimanche. Ceci bien entendu, en respectant le droit des employés au repos dominical, sur la base du volontariat…
Les négociations sur les contreparties au travail dominical avec les partenaires sociaux de la branche débuteront dès le 9 janvier. Mais les syndicalistes de la Confédération générale du travail (CGT) et de Force ouvrière (FO) refusent de signer l'accord permettant aux enseignes de bricolage d'ouvrir le dimanche. Dominique Holle, secrétaire fédéral à la fédération CGT du commerce, explique :
« C'est assez clair, on est contre. Nous ne sommes pas dupes, les syndicats sont juste convoqués pour valider les contreparties, il n'y a eu aucune concertation préalable avec les syndicats ».
Même discours du côté de FO.
Denis CROUAN
C’est tout de même curieux cette querelle au sujet du travail dominical.
En Allemagne, tout est fermé le dimanche (comme en Alsace et en Moselle) et l’on n’a pas l’impression que les commerces y sont moins florissant qu’en France… Ce serait peut-être même le contraire.
De plus, en fermant les commerces le dimanche ainsi que certains lendemains de fêtes, on donne aux salariés de pouvoir se reposer et d’avoir une vie de famille.
a.picadestats
Dans mon quartier , le 19eme à Paris, il n’y a aucune différence entre les jours de semaine et le dimanche! Tout est ouvert! Et pour cause, il n’y a plus que des commerces de la diversité!!!
Alors quelques amendes pourrait renflouer un peu le déficit (si peu…) et remettre un peu d’ordre.
Luc
Encore un acte contre la famille mais pour le veau d’or !
Il n’y a que le fric qui semble intéresser les mondialistes sionistes
JA
L’ouverture le dimanche est un leurre, elle n’augmente pas globalement le volume des ventes mais augmente les frais des réseaux de distribution. Ils doivent alors augmenter les prix pour compenser les frais supplémentaires, d’où une inflation payée par tous les consommateurs, qu’ils fréquentent les boutiques le dimanche ou pas.
Jean Theis
Evidemment que c’est un leurre. L’outil ou le meuble à installer qu’on achète le dimanche, on ne l’achètera pas en semaine. Le volume des ventes restera le même, mais les prix (comme indiqué par JA) augmenteront pour compenser le surplus de frais.
Maurice
Eh oui JA, il faudra bien que quelqu’un paie les employés, et qui le fera si ce n’est nous par l’intermédiaire de nos achats, qu’ils soient le dimanche ou les jours de fête.
Ce n’est sûrement pas les sociétés de ventes qui accepteront de faire moins de bénéfices !
Passons le dimanche en famille, c’est bien plus agréable que de traîner dans des magasins et il y a sept jours par semaine.
scholl
L’art de donner des os à ronger pour faire oublier la véritable gangrène des familles!
Le travail dominical répond à un besoin de personnes dont la famille n’est pas le centre des préoccupations. Le bricolage du dimanche serait donc plus digne que les valeurs de fidélité et de partage en famille? Non, la véritable cible estbien le combat contre la plus indigne est lois contre nature:le mariage pour tous
Niko
Le travail du dimanche est un outil pour déstabiliser les familles, le marché et le droit du travail. Combien de famille explosées, d’enfants délaissés parce que leurs sont contraints de travailler le dimanche ?
Cerf
L’ouverture du dimanche augmente le volume des ventes dans la mesure ou un magasin ouvre le dimanche et pas ses concurrents, certains clients choisissant d’aller là où c’est ouvert le dimanche parce qu’il y aura moins de monde le samedi.
A partir du moment où tous le font, même si le dimanche n’était pas payé double, il est évident qu’un magasin a intérêt à faire son chiffre d’affaire hebdomadaire sur 6 jours plutôt que sur 7. Dès lors il y en aura toujours un plus malin que les autres et fermera le dimanche tout en baissant ses prix. Ce qui drainera les clients et sonnera la fin du travail le dimanche.
DUPORT
Toute dérogation sur le travail du dimanche est un cheval de Troie permettant demain de supprimer le repos dominical.
Évidemment que les clients qui achètent le dimanche n’achètent pas ce qu’ils auraient achetés en semaine.