C'est ce que laisse entendre le député (PCF) Roland Muzeau :
"[T]out est fait pour nous présenter le dimanche comme une relique des temps anciens, une survivance catholique, voire monarchiste, que tout homme de progrès se doit de considérer avec dédain. Le rapport pour avis de notre collègue Bernard Reynès est à cet égard explicite. Il souligne, dès les premières pages, évoquant l'ordonnance de 1814 qui fixe les modalités des interdits dominicaux, que cette réforme rencontra «L'hostilité des républicains qui y voyaient une manifestation de l'ordre moral, des économistes libéraux et des ouvriers, pour qui cette journée chômée représentait un manque à gagner»."
Exupéry
Oui, cet ostracisme à l’égard du christianisme, jusque dans le calendrier, remonte à la révolution (hélas) française.
A quand le retour au Décadi?!
Eulalie
Voilà une belle illustration de l’analyse du Saint Père à l’Élysée :
la séparation entre l’Église et l’État est saine parce qu’on ne saurait réduire la religion à un état ou un parti politique! Et pour rependre un post de ces derniers jours, quand enfin nos frères en Christ réaliseront que le sois-disant vote utile est la plus grande supercherie inventée par nos politiques, communément devenus “égotiques”, pour nous associer aux lois les plus iniques… les choses commenceront à changer !
Sancenay
et il faut que ce soit un brave coco qui le dise! c’est dire la complicité ou la lacheté de la plupart des prétendus cathos sensés nous représenter !
Une preuve de plus si besoin était que sur ce plan là encore le salut ne viendra pas du marigot et autre bhv d’une “majorité” ( à 11 % du corps électoral toutefois !) promise à disparaître puisqu’elle trahit sa mission anthropologique.
jean
Précision à propos du décadi “révolutionnaire” :
Il s’agissait d’un semaine de dix jours, c’est-à-dire 9 jours de travail pour 1 jour de repos.
Les loups rôdent autour du troupeau de moutons.