Reuters, souvent accusée d’un parti-pris anti-américain (et anti-sioniste), donne raison à ses critiques dans cet article caricatural: l’aide américaine a été "aussi massive que tardive." Que ça plaise ou non, dans les premiers jours l’armée américaine a été le seul acteur étranger à porter un secours concret aux victimes. Mais la récupération idéologique de la catastrophe ne s’encombre pas des faits.
Loin de la récupération par la subversion, on peut aider utilement les victimes du tsunami avec l’Aide à l’Eglise en Détresse, qui lance un appel (repris ici, sur un blog catho québecois, descendre un peu.)