On parle de 200 millions de dollars qui pourraient être versé au planning familial américain, au titre des crédits alloués par l'Etat fédéral au plan de relance de l'économie. Les Républicains, par la voix de John Boehner se sont offusqués, demandant en quoi une telle dépense était supposé "stimuler l'économie".
Nancy Pelosi, chef de file du parti Démocrate à la Chambre des représentants, a justifié ce plan de relance en expliquant que le financement du planning familial permettrait à l'Etat de "réduire les coûts" liés aux naissances. Et par là, de renvoyer l'ascenseur au planning familial, gros contributeur à la campagne présidentielle des démocrates. Pourtant, cette "réduction de coûts" est incertaine, tandis que les mauvaises conséquences économiques d'un ralentissement de la fécondité à long terme sont bien connues des économistes.
Si Obama maintenait cette proposition, cela pourrait faire échouer le plan de relance, qui serait sans doute refusé pour ce motif par l'ensemble des Républicains, qui gardent une minorité de blocage.
jano
Nous aurons tout lu! tuer des enfants “pour réduire les coûts”…
C’est dingue de raisonner ainsi. Car les bébés d’aujourd’hui seront évidemment les consommateurs de demain.Nous vivons vraiment dans un monde de fous!
Kelkin
200 millions ???!!!
Ils sont tombes sur la tête !!!
Et pour économiser sur les naissances en plus ! Ils n’ont qu’a stériliser toutes les femmes, tant qu’ils y sont, ça ira plus vite !
Bande de sauvages…
Arold
Cela a changé depuis 2008.
On tue “l’économie” pour relancer les enfants qui ont juste besoin de VIVRE.
Sans plus.
Mais sans MOINS.
Arold.
Barbara
Rien d’innovant dans ce plan américain. Il a existé des sociétés qui sacrifiaient leurs enfants à Moloch pour qe les récoltes soient bonnes et les troupeaux fertiles. Ca doit être la version moderne. Rien de nouveau sous le soleil.
Sancenay
“Croissez et multipliez-vous” nous dit le Seigneur.
“Décroissez et réduisez-vous dans le sein même de vos mères” suggéra l’ange déchu.
Nous y sommes!Un sang trop pur abreuve nos sillons!
Quelle pitié!Aurons-nous assez de foi pour leur pardonner ?