De passage à Chypre, François Fillon a expliqué de façon un peu confuse que le partenariat privilégié prôné par Sarkozy entre l’UE et la Turquie n’était plus une alternative à l’adhésion mais une étape vers l’adhésion de la Turquie dans l’UE.
Ceci confirme les déclarations de Jean-Pierre Jouyet, qui a déclaré la semaine dernière que
"La France s’engage à ne pas gêner le processus d’adhésion de la Turquie"