Le président chypriote Tassos Papadopoulos a estimé que la recommandation de la Commission européenne de suspendre partiellement les pourparlers sur l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne ne constituait pas une pression suffisante :
"Nous ne sommes pas satisfaits de cette décision parce que nous pensons qu’elle ne fait pas suffisamment pression sur la Turquie pour qu’elle se plie à ses obligations. Chacun souhaite qu’un message fort soit adressé à la Turquie. Un message lui a été adressé mais il n’est pas fort".
Un message fort comme celui proposé par Bruno Gollnisch ?