Lu ici :
"sur 31 porte-paroles (il reste encore trois postes à pourvoir), on compte 12 « English native speaker », pas moins (7 Britanniques, 4 Irlandais, ceux-ci n’étant aussi nombreux que parce que « English native speaker », et une franco-britannique). Et si la plupart d’entre eux parlent parfaitement français, certains d’entre eux l’articulent péniblement alors que le français est, avec l’anglais, la seconde langue de travail de la salle de presse. Les Français, eux, n’ont eu droit qu’à trois postes, le même nombre que les Allemands. Viennent ensuite les Portugais et les Italiens (2 représentants chacun). La Belgique (ou plutôt la Flandre), le Danemark, l’Espagne, Malte, les Pays-Bas, l’Autriche, la Slovénie, la Finlande et la Roumanie ont chacun un représentant. […]
Cette anglophonie est assez hallucinante alors que les porte-paroles sont censés être l’interface entre la Commission et les opinions publiques, qui, aux dernières nouvelles, ne sont pas majoritairement anglophones et ne pensent pas comme des Anglo-saxons : on ne voit vraiment pas quel avantage retire un commissaire hongrois en nommant un porte-parole britannique plutôt qu’un Polonais parlant français et anglais."
VD
Et voici dans les faits la non-communication et l’incompréhension.
Emule
Une des réponses est là
http://u-p-r.fr/?page_id=291
autrement dit , pour obéir aux ordres, il vaut mieux les comprendre …
bonne lecture