Lors du débat sur le projet de loi de finance pour 2021, en Espagne, le député Vox Francisco José Contreras a brandi un crucifix. Il s’agit de celui porté par son grand-oncle, prêtre, Rafael Contreras Leva (1901-1936), assassiné à la hache par les communistes au début de la guerre civile.
Le gouvernement espagnol a entamé un processus pour réformer la loi sur la mémoire. Cette réforme comprend notamment l’expulsion de l’Ordre des Bénédictins de la Vallée des morts, qui existe depuis 1957. Le projet de loi sur la mémoire vise à interdire la Fondation Francisco Franco, à enseigner une nouvelle matière dans les écoles “sous le paradigme de” ne plus jamais “perdre nos libertés”, créer un Parquet spécifique pour «réparer les victimes», payer avec des fonds publics l’exhumation des victimes du régime franquiste des fosses communes, et annuler les procès du régime franquiste.
Le député Contreras a critiqué le financement de cette soi-disant mémoire historique, loi révisionniste de la gauche espagnole, pour manipuler l’histoire de l’Espagne depuis la guerre civile. Le député de Vox a appelé à tourner la page et à laisser l’histoire à sa place.
Le père Rafael Contreras est l’un des 127 martyrs catholiques de cette guerre dont la béatification a été approuvée par le pape François le 23 novembre.
Prout
Et vous remarquerez à la fin de cette vidéo que ces imbéciles portent aussi des masques !!! Hémicycle quasi vide d’ailleurs. Pas étonnant. Quels crétins……
Michel
J’ose espérer que les “imbéciles” et les “crétins” dont vous parlez ne sont pas les députés qui applaudissent leur confrère à la tribune… Votre remarque ambiguë mérite d’être précisée, sinon c’est que vous ne comprenez rien à la langue espagnole.
Olivier Monteil
Félicitations à cet élu espagnol, député de nos amis de VOX, qui relève superbement la bestialité des crimes communistes contre les prêtres en espagne durant la guerre civile.
Michel
Depuis 1936, la Gauche espagnole n’a pas ou très peu changé, même si aujourd’hui elle a rangé (provisoirement) revolvers et couteaux au vestiaire : elle est toujours une force de désagrégation et de guerre civile, qui écrit l’histoire, comme le rappelle cet honorable député de Vox, à sa façon, c’est-à-dire révisionniste, avec d’un côté les “bons” républicains, et de l’autre les “méchants” nationalistes…
DUPORT
Il faut rappeler sans cesse que les communistes (comme d’ailleurs les socialistes qui ne sont qu’une forme du communisme) sont des criminels.
F. JACQUEL
Et le révisionnisme n’est autorisé et préconisé que si il va dans le “sens de l’histoire” cher aux marxistes.
Dans les autres situations, il sert de justificatif à des jugements et des condamnations lourdes et répétitives contre toute personne critiquant un tant soit peu la doxa officielle.