Six ans après son interpellation au Mali par les militaires de l’opération Serval, Gilles Le Guen est sorti de la maison d’arrêt de Condé-sur-Sarthe, le 25 février. Bénéficiant de remises de peine, l’ancien djihadiste a purgé un peu plus de six ans sous les verrous.
En mai 2015, le Tribunal correctionnel de Paris l’avait condamné à une peine de huit ans de prison ferme pour “association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste”.
Gilles Le Guen est désormais soumis un contrôle judiciaire. Aujourd’hui domicilié dans la Manche, il doit pointer une fois par jour au commissariat.
Repéré dès 2012 par les services de renseignement sur une photo de membres armés d’Aqmi, Gilles Le Guen avait, une Kalachnikov à la main, rendu hommage à Oussama Ben Laden. Se présentant comme un humanitaire, ce père de huit enfants, converti à l’Islam dès les années 80, n’avait pas convaincu les juges, qui avaient suivi les réquisitions du parquet.
Gaudete
et qui paye pour ce fumiste? il travaille pour élever ses 8 enfants où c’est le bon peuple de France qui met la main au porte-monnaie pour faire manger ce cloporte?
philippe paternot
tremblez donc gaulois! il va y en avoir des centaines libérables cette année!
remises de peins pour djihadistes, remise de couteaux sacrificateurs s’en suivront