Un lecteur nous signale ce récent article des éditions juridiques Francis Lefebvre: “Peut-on parler de politique sur le lieu de travail?”
On y lit notamment qu’un salarié est en droit de taire ses convictions. Ce qui, dans le contexte actuel de pressions dans les entreprises en faveur du lobby LGBT (par exemple, dans l’affaire d’Idrissa Gueye, enquiquiné simplement pour s’être éclipsé discrètement afin d’éviter de porter le maillot arc-en-ciel: comme au bon temps de la loi des suspects, on peut envoyer au rasoir national tous ceux qui n’ayant rien fait contre la liberté, n’ont rien fait pour elle!), mérite d’être su, connu et diffusé. Un arrêt de la chambre sociale de la Cour de cassation du 26 octobre 2005 protège ce droit à taire ses convictions.
F. JACQUEL
La différence entre les civils et les militaires ?
Les premiers ont le DROIT de taire leurs opinions politiques. Les seconds ont le DEVOIR de le faire. Ils n’ont que le le droit de se taire (c’est la Grande Muette). Et il serait question de le leur supprimer…
Meltoisan
Il est aussi question de supprimer le secret de la confession …
Alors, en même temps, il est possible qu’un jour, on oblige les militaires à confesser leurs opinions.