Il faut le lire pour le croire, une dépêche Reuters a pour titre:
« Bethléem aurait bel et bien existé des siècles avant Jésus »
Un sceau en terre cuite datant du VIIe siècle avant Jésus-Christ, trouvé à Jérusalem, mentionne le nom de Bethléem. Le journaliste de Reuters rapporte le propos du directeur des fouilles :
« c'est la première fois que le nom de Bethléem est mentionné, en dehors de la Bible, sur une inscription datant de la période dite du premier temple ».
Le journaliste, qui a de sérieux doutes sur l’existence de Jésus, donc de Bethléem au Ier siècle, est stupéfait d’apprendre que peut-être la Bible disait vrai.
maneguen
Cette ‘info’ a été reprise aujourd’hui dans l’édition de Ouest France, premier quotidien de France (de l’ordre de 700.000 exemplaires).
C’est très choquant car l’article pose un préalable négatif, une sorte de postulat comme quoi toute affirmation dans la Bible devait obligatoirement être suspecte d’être fausse historiquement.
Or c’est bien le contraire qui se vérifie : la Bible est bien évidemment une source de recherche historique de première importance.
chouan 12
les journaleux excepté quelques uns sont des machines à ne rien croire de la Bible, mais par contre de tomber en pamoison devant les discours débilitants d’un tas de politiques surtout de gauche.
jacques-henry
Donc Jésus a réellement existé ?
Quelle surprise troublante en 2012……
c
Ce n’est pas l’existence d’un Bethléem biblique qui les ennuie, c’est la naissance du Christ et du Nouveau Testament. Nuance d’importance!
Oktavius
“La Croix” publie cet article ! Ils en doutaient sans doute également…
Malleus
C’est normal, c’est le principe même de la formation des journalistes : les faire sortir des écoles dans un état d’ignorance et d’inculture extrême tout en leur faisant croire de manière fanatique qu’ils savent “déjà tout”.
Ce qu’ils “savent”, bien sûr, se résumant à la conception idéologique du monde qu’on leur a inculquée durant les 3-4 années de formattage.
C’est donc normal qu’un brillant journaliste de chez Reuters en soit encore aux tentatives maçoniques du XIXe pour qui l’enjeu vital était l’historicité de Jésus.
Mais c’est positif : grâce à lui, les lecteurs de Ouest France et des autres média qui recyclent Reuters ont découvert aujourd’hui que les évangiles sont historiquement exacts.
jpr
Notre époque, depuis plus de deux cents ans, se complait à faire l’apologie du doute pour tout ce qui concerne Dieu, Jésus (le Verbe incarné), Marie (et ses apparitions), les anges, le plan divin sur l’humanité, les fins dernières… et pour se gausser et tenir pour minable toute la foi et l’enseignement de l’Église. Par contre, il est convenable de croire sans réserve en toutes les théories pseudo-scientifiques (qui seront pourtant démolies par l’expérimentation dans dix ou vingt ans), de gober l’interprétation marxiste de l’histoire et toutes les contre-vérités que la république nous assène (croisades, inquisition, ancien régime…), de suivre les modes pédagogiques, alimentaires, sociétales qu’on veut nous imposer au delà du bon sens avec le doigt sur la couture du pantalon.
En tous cas, votre titre, “Un journaliste de Reuters aurait bel et bien existé”, est excellent. Cependant, êtes-vous bien sûr de ce que vous y suggérez ? Parce que là, moi, j’ai un doute. Ou alors, nous n’avons pas la même notion du journalisme.
Balloune
Ca ne me choque pas. C’est une approche scientifique en complément de la lecture de la Bible. On peut en tirer la conclusion SCIENTIFIQUE suivante : s’il existait des doutes sur les allégations bibliques de l’existence de Béthléem du temps du premier temple, ces doutes sont infirmés par cette découverte archéologique.
Denis Merlin
0Il faudrait qu’on m’explique pourquoi seule la Bible n’aurait aucune valeur de document historique. Parce que seuls les juifs et les chrétiens sont des menteurs ? Si c’est le cas, il y aurait de la discrimination dans l’air.
Pour moi la Bible est la parole de Dieu, mais c’est aussi un document historique. La “science” étant fondée sur l’expérience, le récit historique ne peut être un document “scientifique”. L’histoire n’est pas une science, l’histoire est un genre littéraire, elle peut être aidée de sciences, mais son objet propre est le récit et le terme de “science” dès lors ne la range pas dans les sciences expérimentales. Le récit quoi qu’on fasse restera récit. Si on dit qu’elle est une “science” ce terme équivaut à “connaissance”. Le savant en histoire est celui qui connaît les récits historiques, même si les sciences historiques comme la paléographie, l’épigraphie, la critique ou la diplomatique l’aideront à établir son récit.
La Bible est composée en partie de récits historiques et à mon avis elle est à l’origine des récits historiques profanes (Hérodote prenant modèle sur Moïse et sur l’auteur du Livre des rois ?)
C’est pourquoi, il est absurde de mettre particulièrement en doute les récits bibliques. C’est arbitraire, voire pervers.
SD-vintage
Il n’y a pas de sceau en terre cuite datant du VIIe siècle avant Jésus-Christ, trouvé à Jérusalem, mentionne le nom de “Reuters” : “Reuters” n’a pas d’existence prouvée.
kelkin
Notez le conditionnel dans le titre. Même avec la preuve par a+b devant les yeux, le cuistre met encore un conditionnel !
Manon
Ces personnes instillent le doute sur la Bible et sur Jésus-Christ, comme on injecte un poison par intra-veineuse mais elles sont au garde-à-vous devant n’importe quelle autre croyance. On retrouve cette propagande anti-chrétienne dans tous les dictionnaires de noms propres.