A lire, la tribune d’Hélie de Saint-Marc dans Le Figaro, en hommage au dernier poilu de la Grande Guerre :
"Dernière sentinelle d’un monde disparu, il s’est éteint. La nation aux Invalides, à travers lui, rend hommage aux combattants de 1914-1918, ces générations fauchées, décimées, qui ont tout donné. Nous serons quelques-uns à ajouter à cette célébration, dans la prière et le souvenir, d’autres noms imprononçables, français par le sang versé, ses cadets, ses frères d’armes."
Bertrand
Que l’on lise “Joffre, l’âne qui commandait à des lions” et l’on verra la généalogie entre les cadres criminels de la guerre de 1914 qui ont conduit une génération entière à l’abattoir et nos dirigeants actuels qui mettent un point final à la destruction de la France. La lumière n’est pas encore faite sur les massacres abominables de centaines de milliers de jeunes Français dont la disparition a signé l’acte de décès de notre nation d’un point de vie culturel et ethnique. Les poilus réclament la justice de l’Histoire. Tous les témoignages accablants des chefs de l’époque sont là pour montrer du doigt celui que la République a choisi pour conduire notre armée au désatre (cf. commission d’enquête de 1919, les ouvrages du gal Lanrezac limogé puis proposé au poste suprême, etc). Le devoir de mémoire ne consiste pas à allumer des flammes du souvenir ou à élever des mosolés mais à rendre justice par la vérité des faits, à ceux qui sont tombés de façon aussi absurde.
Jean
Sur RC, il y a quelque années, c’est Serge de Beketch, je crois, qui supposait que le gouvernement français de l’époque avait désiré quela guerre finisse par provoquer la chute des monarchies européennes.