La commission paritaire des publications et agences de presse (CPPAP) a rendu un avis constatant dans le numéro de septembre-octobre du magazine en question
"la présence de nombreux éléments iconographiques et textuels à caractère pornographique et comportant la représentation d'actes sexuels"
La commission, qui dépend du ministère de la Culture, a donc décidé de ne pas accorder le droit de bénéficier d'un taux de TVA allégé de 2,1% et de tarifs postaux négociés.
Le directeur du magazine, Jean-Christophe Florentin, juge cela… homophobe :
"Ses lecteurs sont ainsi déconsidérés, tout juste assimilés à des obsédés sexuels".
Ben évidemment : depuis le temps que nous écrivons que les militants LGBT sont des obsédés de l'entrejambe. Il n'y a qu'à regarder l'immonde GayPride.