Pour l'inter-LGBT, l'agresseur LGBT est une victime. Nathan, militant des causes LGBT et salarié de AIDES, a comparu ce matin devant la Juridiction de proximité de Paris, suite à un dépôt de plainte d’une militante de « la Manif pour tous », qui l'accuse de "violences volontaires", car celui-ci lui a « arraché » des mains des tracts appelant à une manifestation contre la loi Taubira.
Un militant LGBT en procès pour violences volontaires
5 commentaires
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damestoy
Nathan et LGBT sont des intégristes de la PUT (Pensée Unique Totalitaire). Penser et vouloir vivre différemment qu’eux est une agression inadmissible …
Louise
Je ne savais pas qu’on pouvait porter plainte pour arrachage de tracts… dans ce cas c’est bien plus d’une plainte qu’il aurait fallu déposer contre des membres de LGBT, anarchistes et autres…
FASCISTES ! C’est eux qui le disent, c’est eux qui le sont.
Luc
Que cette association qui gère les bêtes tarées s’arrache les cheveux plutôt que des tracts ! Car le droit d’exprimer son opinion en public existe !
Stephe
Et en plus les LGBT envoient leurs salariés faire le sale boulot de nervis dans les rues et cela avec notre argent puisque c’est le contribuable qui permet de leur octroyer des subventions décidées par les copains en place.
Artemis
Il m’est arrivé la même chose à trois reprises vers 21h30 lors d’un tractage le 30 janvier dernier au métro Sèvres Babylone. Le militant LGBT a même commencé à me suivre quand je rentrais chez moi pour me faire la peau. Ce sont les autres tracteurs qui m’ont dit de me sauver pendant qu’ils le retenaient et appelaient la police. J’ai pris mes jambes à mon cou. Mais j’ai retracté cette fois-ci (en journée) et ONLR quand même