Lu sur Summorum Pontificum Observatus :
"Avec la discrétion propre aux bénédictins, un nouveau monastère se rattachant à la Règle de saint Benoît a vu le jour en France. Il s‘agit du monastère Saint-Benoît qui serait peut-être resté sagement dans une discrétion absolue sans la question d’un liseur du Forum catholique.
Inauguré le 7 décembre dernier, à la Garde-Freinet, en présence de Mgr Rey, dont il dépend directement, ce monastère vit au rythme de la Règle du Patriarche des moines, observant la liturgie traditionnelle, autant pour la messe que pour la récitation des Heures. Les premiers vœux ont été émis le 7 décembre, dans la salle du chapitre, en présence de Mgr Rey. Le jour de cette inauguration, il y avait visiblement un moine du Barroux ou un ancien de cette abbaye, présent dans l’assemblée.
Le diocèse de Fréjus-Toulon a publié le décret d’érection de ce monastère, lequel est constitué en association publique cléricale de fidèles avec la personnalité juridique publique et ses statuts de fondation sont approuvés ad experimentum pour une durée de trois ans.
On sait très peu de chose de cette énigmatique communauté, qui possède bien un site Internet, en français et anglais, mais qui n’indique ni prieur, ni rattachement à une congrégation bénédictine particulière. En revanche, le diocèse indique bien que le modérateur de l’association publique cléricale de fidèles est le le Père Aidan (William) Charlton."
maguelone
Ce serait un monastère de langue anglaise ..?
‘A English-speaking traditional monastic community’
info trouvée ici
http://riviera.angloinfo.com/afdetail.asp?Rec=9581
PK
Mgr Rey avait déjà contacté manifestement un certain nombre de monastères afin d’ouvrir dans son diocèse un « bon » monastère (si je me réfère au moins à ceux contactés) : il semble donc qu’il ait enfin réussi : c’est donc sans aucun doute une grande grâce pour son diocèse…
On ne dira jamais assez combien la présence d’un monastère est une source de grâce localement…
Michèle
Et vive Monseigneur Rey! Il faut demander à Sainte Thérèse de Lisieux, non pas une pluie de roses mais une pluie d’évêques comme lui.