La normalité n’est en rien normale en matière de nombre d’avortements… Les journalistes n’ont plus la notion des mots, tellement la culture de mort a envahi leur réflexion.
La Commission nationale d’évaluation de la loi sur l’interruption volontaire de grossesse (IVG) présentera ce mercredi, à la Chambre, son dernier rapport bisannuel, portant sur les années 2022 et 2023. On y lit que le nombre d’avortements en Belgique a retrouvé son niveau d’avant la pandémie de Covid. Environ 18 000 avortements avaient été enregistrés en 2018 et 2019 (les chiffres sont assez stables dans le temps), pour chuter à un peu plus de 16 500 en 2020 et 2021 en pleine crise sanitaire. Le nombre d’IVG est ensuite remonté à 18 574 en 2022, atteignant même 19 686 en 2023, ce qui constitue un record.
France Fougère
A propos de respect de la vie, il y a beaucoup trop de discothèques, boîtes de nuit, endroits propices à la consommation de drogues, d’alcool. Il en résulte des affrontements, des viols, de la violence, des morts.
A limiter, à fermer.
J’espère que le président Donald Trump le fera, car lui a du courage.
ExtraEcclesiamnullasalus
Non pas IVG mais meurtre avec préméditation de l’enfant à naître. L’acronyme IVG constitue un détournement du champ sémantique par euphémisation d’un acte barbare et hautement criminel devant Dieu et les Hommes, une des marques de fabrique de la gauche haineuse génocidaire.
F. JACQUEL
@ExtraEcclesiamnullasalus
Et l’Assemblée nationale commence le débat sur la “fin de vie”, délicat euphémisme pour “euthanasie”, loi qui permettra une plus grande “efficacité” que la Belgique et le Canada. Et, probablement, cette loi sera inscrite dans la Constitution avant la fin du septennat.
France Fougère
Il ne faut pas oublier les atteintes aux très jeunes enfants si vulnérables laissés aux quelquefois mauvais soins de tiers, crèches ou nounous sans réelles formation et/ou motivation.
Je ne comprends absolument pas ces mères qui ont des bébés mais ne s’en occupent pas elles-mêmes, parce que leur travail est leur priorité !
Résultats : la toute petite fille qu ‘une employée de crèche a empoisonnée en lui faisant avaler de force évidemment un produit caustique. Un véritable martyre avec des douleurs inouïes pour cette enfant sans défense.
L’enfant de 2 ans confiée à une crèche : étouffée par une banane qu’une employée à voulu lui faire “manger “.
Entendu récemment à la radio, émission La Libre antenne d’Europe 1 : une mère pressée de retourner travailler qui a confié son bébé de TROIS MOIS en parfaite santé à une nounou. Elle s’est étonnée parce que l’enfant récupéré chaque soir après son travail allait de moins en moins bien. Jusqu’au jour du drame, quand l’enfant à,été tellement blessé ( Comment ? ) qu ‘il a eu une hémorragie crânienne et qu’il a dû être opéré en urgence à 2 heures du matin. Bébé secoué, a-t-elle dit, mais le bébé a,garde des séquelles avec un œil à moitié fermé et peut-être des conséquences à plus ou moins long terme.
Cela me. révolte, et vous ?
Il y a quelques années, c’était une journaliste de la même radio, qui avait la rubrique bien-être et beauté, personne très excitée, qui disait avoir eu un bébé et l’ avoir confié à l’extérieur dès l’âge de 6 mois. Elle aussi avait constaté que son bébé allait de moins en moins bien mais que pour elle sa priorité était son travail, et qu’il fallait bien “qu’il s’y fasse “. J’ai été très choquée et je crois pas la seule car.. la journaliste a disparu de l’antenne.
Le bébé avant tout ! Je suis pour les femmes qui travaillent et moi-même j’ai une vocation, mais le devoir d’une mère est de protéger son enfant. Elle est irremplaçable.
Adalbert
Quand on se promène dans les parcs parisiens, on croise beaucoup de ” nourrices”, souvent voilées, avec les jeunes enfants des ” bobos” du quartier. Ces derniers sont, je l’imagine, très regardants sur l’école, l’alimentation, les loisirs de leurs progénitures, qui doivent être protégées et bénéficier du ” meilleur”. Pourtant les abandonner toute la journée à des femmes inconnues, peu francophones, parfois islamisées, ne les dérange manifestement pas. Éternelle contradiction du bourgeois “progressiste”, qui sélectionne ses priorités. L’enfant n’en est dans ce cas pas une. Tartuffes.
France Fougère
Bien d’accord, Adalbert. Il y avait à une autre époque, les très appréciées nourrices venant du Morvan à Paris pour s’occuper des enfants des bonnes familles. Leurs bébés étaient laissés au pays et trop souvent sacrifiés.
Il y eu aussi les enfants mis en nourrice à la campagne. Claire Gallois fut l’une de ces enfants et elle relate dans “Si tu n’existais pas,” le drame qu’elle a vécu vers 6 ans quand sa mère est venue sans prévenir en voiture pour l’arracher à sa nounou qu’elle aimait tellement. Claire Gallois, femme de lettres et femme de cœur, a publié dans “Alias” le combat qu’elle a mené pour protéger un petit garçon de sa mère bizarre et méchante,,et également de certains services sociaux. Car nous sommes à la triste époque des “enfants placés ” dont tant ne sont pas heureux. Quelle deshumanisation ! Claire Gallois osait dire que ces placements pouvaient sacrifier les enfants, mais que le système rapporte beaucoup d’argent
Giacomo
Les nourrissons et enfants en bas-âge confiés à des nourrices, ou en garde à des personnes âgées, ça ne date pas d’hier mais depuis toujours. Les femmes des basses classes sociales étaient souvent accaparées par leurs soucis familiaux et domestiques et par les travaux des champs dans un pays à forte prédominance agricole. Et ce, d’autant plus que les familles nombreuses étaient une règle quasi universelle
Seules les épouses ayant un certain standing social étaient en mesure de les élever elles-mêmes et de veiller à leur éducation, et celles de la haute société avaient suffisamment de moyens pour employer du personnel chez elles, dédié à cet emploi exclusif, nourrices, gardiennes, précepteurs, etc…
Il est donc probable que les effets pervers inhérents à notre époque que vous dénoncez existaient déjà bien avant.
Gaudete
Je ne suis pas sûr que ce soit de la même façon car quoi qu’on en dise, les enfants même dans les campagnes les plus reculées, recevait une bonne éducation à la fois religieuse et humaine, aujourd’hui même dans les familles dites normales il y a une éducation humaine mais l’éducation religieuse, ce sont des coutumes d’un autre âge, c’est pourquoi aujourd’hui notre monde est si malade.