Si Internet reste loin derrière les médias traditionnels, sa crédibilité augmente. C'est ce qui ressort du baromètre annuel TNS-Sofres/Logica sur la confiance des Français dans les médias. 34% des Français pensent que l'information diffusée sur internet est fiable. La radio et la presse écrite restent en tête de la fiabilité. En revanche, 49% juge négativement la télévision.
De manière plus générale, le sondage montre que la confiance dans les journalistes va de mal en pis. 61% des personnes interrogées estiment en effet qu'ils ne sont pas indépendants face aux «pressions des partis politiques et du pouvoir». Le rapport aux «pressions de l'argent» n'est guère encourageant : 59% à juger que les journalistes ne sont pas indépendants face à elles.
Enfin, les personnes interrogées évoquent les sujets dont les médias ont «trop parlé» en 2008 :
- la grossesse de Rachida Dati (67%),
- le film Bienvenue chez les Ch'tis (62%)
- la libération d'Ingrid Betancourt (60%).
o Rei Sebastiao
il est certain qu’on dispense sur le Web des informations trés fiables (beaucoup plus qu’à la télé)
par exemple sur françois desouche, le Salon Beige et Novopress ,que j’ai mis en favoris
Jacques
en tous les cas le SB est certainement l’un des blogs ‘info les plus fiables et sans langue de bois!
continuez et sainte année à vous
marcel
On voit bien le haut niveau intellectuel de ces trois sujets. Je pense que maintenant, quand les gens surfent sur le net, ils ne sont pas à la recherche d’infos: Les infos, ils en ont partout dans les oreilles et devant les yeux à la télé. Ils recherchent plutôt des scoops qui n’ont aucun intérêt à part pour servir de matière à des discussions sans intérêt. De toute façon “trop d’info tue l’info”
VD
Heureusement que vous êtes là.
Il y a 3 ans j’ai décidé, comme effort de Carême, de ne pas regarder la TV, depuis, je suis désintoxiquée et n’ai pas dû la regarder plus de 4 à 5 fois.
Entre radio Courtoisie et vous, je suis néanmoins très bien informée sur ce qui est nécessaire. Le reste… pendant des siècles on a vécu sans savoir ce qui se passait à l’autre bout du monde et l’on ne s’en portait pas plus mal. Cela laisse du temps pour Dieu.