Lu dans Le Figaro, cette déclaration du président de l’Union syndicale des magistrats :
"Il ne faut pas se leurrer. Un tiers de l’activité correctionnelle demeure virtuelle, les décisions prises ne pouvant toutes être appliquées, faute de personnel pour encadrer les TIG, de places suffisantes en prison ou dans les établissements de la PJJ".